Mardi 04 juin
09:00

"Mardi 04 juin"

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PC02
09:00 - 17:30

Formation Pré-Congrès Soignants
Journée des Infirmiers de l'Urgence / 2ème édition !
Infirmier, Triage, Traumatologie, Catastrophe SSE CUMP, Communication, Gériatrie

Coordonnateur : Geoffrey GALOPIN (Coordonnateur, Dijon)
La journée pré-congrès à destination des infirmier(ère)s de l'urgence a pour objectif de traiter des thématiques relatives à notre pratique en structure d'urgence. Composé de 6 interventions, cette journée débutera par une intervention sur le triage IOA suivi d'une session urgence et traumatologie. La deuxième partie de matinée sera consacrée à l'ECG pour l'infirmier(ère). L'après-midi débutera par une intervention sur le thème des situations sanitaires exceptionnelles avec le soutien de la société Tanit. La communication et le leadership infirmier seront abordé dans une avant dernière session. Cette journée se terminera par une intervention sur le thème de la Gériatrie aux Urgences.
09:00 - 10:00 Triage IOA. Olivier PICOT (IDE) (Conférencier, Paris)
10:00 - 11:00 Urgences et traumatologie. Geoffrey GALOPIN (Infirmier) (Conférencier, Dijon)
11:15 - 12:15 L'ECG pour l'infirmier. Jérome MOLINARO (Infirmier) (Conférencier, Eaubonne)
13:30 - 15:00 Urgences et situations sanitaires exceptionnelles. Bruno GARRIGUE (IADE cadre de santé) (Conférencier, Bonnay)
15:15 - 16:15 Communication et leadership infirmier. Clément ROUXEL (Ide) (Conférencier, Dijon)
16:15 - 17:15 Urgences et gériatrie. Hélène FAUCON (INFIRMIERE GERIATRIQUE AUX URGENCES IGU) (Conférencier, Marseille)
Salles 224-225-226
08:45

"Mercredi 05 juin"

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AS32
08:45 - 10:15

Atelier Soignants
Quand la crise est là, l'ado n'est plus là ! Prise en charge de l'adolescent en crise, au centre 15 et au SAU
Thérapeutique, Triage, Pédiatrie

Coordonnateur : Eric PERRET (Coordonnateur, Annecy)
Conférencier : Laure ROUGEGREZ (Psychiatre) (Conférencier, Lille)
Connaitre la sémiologie des états de crise à la préadolescence et à l’adolescence.
Compréhension et évaluation des différences cliniques concernant une crise émotionnelle, une conduite compulsive et une crise suicidaire.
Connaître les différentes réactions de l’entourage, de la famille, afin d’optimiser l’aide à apporter.
-Acquérir une méthode d’entretien pendant le moment de crise aigüe, afin d’établir un lien accueillant et constructif avec l’adolescent en crise
-Développer des aptitudes pour la gestion et la prise de décision optimale en régulation et au SAU
-Approche des recommandations et du cadre légal, en cas de survenue de la crise en institution ou en foyer
-Savoir trier : le TRI ARM en régulation, et le TRI IOA au SAU
Salle 353
11:00

"Mercredi 05 juin"

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SIS03
11:00 - 12:00

Session Interactive Soignants
Quiz : les pièges de la pharmaco

Modérateur : Geoffrey GALOPIN (Infirmier) (Dijon)
Coordonnateur : Charlotte VERJUX (Coordonnateur, Paris)
11:00 - 12:00 Quiz : les pièges de la pharmaco. Aurélien LANDIÉ (IDE SMUR/REA/CESU) (Conférencier, Rodez), Lionel DEGOMME (IADE) (Conférencier, Paris)
Salle 243
14:00

"Mercredi 05 juin"

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TRS03
14:00 - 15:30

Table Ronde Soignants
Quand la prise en charge devient hostile
Ethique, Organisation SAMU/SMUR

Modérateurs : Emeline DELON (infirmière) (Nîmes), Jonathan POISSONNIER (Ambulancier/ aide soignant) (Roubaix)
Coordonnateur : Jonathan POISSONNIER (Coordonnateur, Roubaix)
La présence inatendue d'un animal ? Une arme à feu ? Venez discuter avec les experts des bonnes pratiques et de la gestion du stress en interventions.
14:00 - 14:15 Quand les animaux s'en mêlent : gérer le risque animalier en intervention. David RINGOT (Vétérinaire) (Conférencier, Paris)
14:15 - 14:30 Coopérer au décours d'une intervention avec présence d'armes à feu. Laurent MARTY (Brigadier Chef Police Nationale) (Conférencier, Strasbourg)
14:30 - 14:45 Le gilet pare-balle, pare-lame, caméra en SMUR... Des EPI comme les autres ? Mohamed EL KHEBIR (physician) (Conférencier, Beauvais)
14:45 - 15:00 Gestion du stress en contexte périlleux. Matthieu LANGLOIS (medecin) (Conférencier, Paris)
15:00 - 15:30 Débat.
Salle Maillot
16:00

"Mercredi 05 juin"

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CS02
16:00 - 17:30

Conférence Soignants
Le triage des patients et ses enjeux
Ambulanciers, ARM, Catastrophe SSE CUMP, Infirmier, Régulation, Triage

Modérateurs : Yann COEN (Ambulancier SMUR) (Brest), Emeline DELON (infirmière) (Nîmes)
Coordonnateur : Merlin DESCOURS (Coordonnateur, Toulon)
De la régulation aux Urgences, en passant par le terrain, le tri ne s'improvise pas.
16:00 - 16:22 L'importance du tri en régulation. Ludovic RADOU (MANAGER EN SANTE) (Conférencier, Angers)
16:22 - 16:44 Mieux trier : pourquoi ? Olivier PICOT (IDE) (Conférencier, Paris)
16:44 - 17:06 Le leadership en IOA : un impératif pour la sécurité des soins. Merlin DESCOURS (Infirmier) (Conférencier, Toulon)
17:06 - 17:28 Le triage des victimes en SSE. Sébastien BATRANCOURT (Infirmier) (Conférencier, Paris)
Salle 242A

"Mercredi 05 juin"

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CS06
16:00 - 17:00

Conférence Soignants
Faire face à la précarité des patients : enjeux et solutions face aux urgences sociales
Assistante Sociale, Organisation Services d'Urgences, Régulation

Modérateurs : Caroline APARICIO (médecin) (Paris), Caroline VAREILLE (assistante sociale) (Paris)
Coordonnateur : Caroline VAREILLE (Coordonnateur, Paris)
Les urgences sociales sont au coeur de nos urgences. Venez découvrir dans cette session différentes façons de les aborder.
16:00 - 16:20 Les gros consommateurs de soins. Romain HELLMANN (PH) (Conférencier, Paris)
16:20 - 16:40 Action sociale au coeur de la régulation. Christine EDWARDS (Travailleuse médico sociale) (Conférencier, Annecy)
16:40 - 17:00 Cellule sociale SMUR Strasbourg. Sophie LECORCHE (PHC) (Conférencier, Strasbourg)
Salle 242B

"Mercredi 05 juin"

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SIS04
16:00 - 17:00

Session Interactive Soignants
Quiz : Urgences neurologique.

Modérateur : Perrine BOURSIN (CESU75 formatrice IAO / ROTHSCHILD IPA Urg neurovasc, Coordinatrice Centre de recherche et formation) (Paris)
16:00 - 17:00 Quiz : Urgences neurologique. Patrick POLY (Étudiant infirmier en pratique avancée) (Conférencier, Paris)
Salle 243

"Mercredi 05 juin"

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CLS01
16:00 - 17:30

Communications Libres Soignants

Modérateurs : Marc Antoine BARON (IDE) (Avranches), Aurélien LANDIÉ (IDE SMUR/REA/CESU) (Rodez)
16:00 - 17:30 #39210 - CP101 Développement et évaluation d’un outil de traçabilité et de suivi des personnels engagés en zone contaminée lors d’un évènement radionucléaire et chimique (NRC).
CP101 Développement et évaluation d’un outil de traçabilité et de suivi des personnels engagés en zone contaminée lors d’un évènement radionucléaire et chimique (NRC).

Objectifs : L'étude vise à évaluer un outil de traçabilité du personnel en zone contaminée basé sur des QR codes lors d'un événement NRC. Méthodes : Etude prospective et monocentrique d’évaluation d’un outil informatique utilisant des QR codes affiliés à une identité agent, apposés sur tenue et bracelet, s’appuyant sur un tableur créé via le logiciel Microsoft® Office Excel. Le QR code est lu par douchette reliée à un ordinateur en entrée et sortie de SAS interservices. Des codes couleurs indiquent la durée de présence en zone contaminée. Pour évaluer l'outil, des informations similaires sont notées manuellement. Un questionnaire de satisfaction portant sur la rapidité d’enregistrement et le suivi en zone est proposé en fin d’exercice. Les résultats sont exprimés en effectif et pourcentage, en moyenne ± écart type, et un p <0,05 était considéré significatif sur les comparaisons de satisfaction avec le test de rang de Wilcoxon. Résultats : Aucun dysfonctionnement du logiciel n'est signalé. La satisfaction des 25 participants est évaluée sur 10 avec un score de 9 pour les QR codes versus 7,6 pour l'enregistrement manuscrit et 7,2 pour le suivi du personnel en zone. Discussion : En conclusion, cet outil démontre son utilité et son efficacité dans la gestion de nombreux soignants lors d'un événement NRC. L'utilisation interconnectée de ce logiciel par différents services pourrait limiter les délais en zone contaminée.
Virginie SANGAY (TOULOUSE), Anne RAYNAUD LAMBINET, Thomas PARDON, Vincent BOUNES, Vanessa HOUZE CERFON, Cédric ZANNESE
16:00 - 17:30 #38892 - CP102 Circulation difficile, retard sur le périphérique, il faut changer de voie.
CP102 Circulation difficile, retard sur le périphérique, il faut changer de voie.

Introduction La pose d’une voie veineuse périphérique est un acte infirmier fréquent en structure d’urgence (SU) et la survenue d’un abord veineux périphérique difficile (AVPD) est particulièrement redouté par les infirmiers diplômés d’état (IDE). En l’absence de recommandations précises, les stratégies adoptées lors d’un AVPD en SU sont peu connues. Nous avons souhaité faire un état des lieux des stratégies mobilisés par les IDE d’une SU d’urgence d’Île-de-France lors d’un AVPD. Matériels et méthode Nous avons réalisé une étude déclarative monocentrique à l’aide d’un questionnaire renseigné par les IDE d’une SU de région parisienne. Résultats Nous avons analysé 37 questionnaires. Le sexe ratio F/H était de 2,7. L’expérience professionnelle des IDE était de moins de 2 ans (3%), de 2 à 5 ans (24%), de 5 à 10 ans (38%) et de plus de 10 ans (35%). 70 % des IDE déclaraient n’avoir aucune formation sur l’AVPD. La fréquence de survenue d’un AVPD était plus d’une fois par jour (16%), par semaine (43%), par mois (32%) ou par an (3%) et n’était pas influencée par l’expérience professionnelle (p=0,38). À cette occasion, les participants déclaraient un allongement du délai moyen d’obtention d’un accès vasculaire de 25 minutes (±16 minutes). L’allongement du délai était significativement plus court pour les IDE formés à l’AVPD (p=0,03) mais n’était pas influencé par l’expérience professionnelle (p=0,22). Lors d’un AVPD, les stratégies proposées par les IDE consistaient à multiplier les tentatives (19%), passer la main (86%), perfuser sous échoguidage (35%), poser un dispositif intra osseux (DIO 3%), envisager une voie veineuse centrale (11%) ou adresser le patient à l’unité d’accès vasculaire (68%). 93% des IDE souhaiteraient se former au DIO (57%) ou l’échoguidage (95%). Discussion/Conclusion L’AVPD est fréquent en SU et l’augmentation des délais de perfusion pourrait compromettre les stratégies de réanimation des patients graves ou plus largement les soins urgents nécessitant un accès vasculaire rapide. Si une formation à l’AVPD semble permettre de réduire les délais de perfusion, les stratégies mobilisées ne sont pas univoques. Notre étude suggère d’étendre l’accès aux formations AVPD pour les IDE notamment sur le DIO et l’échoguidage. Dans l’attente d’une refondation du cadre règlementaire, notre étude fait apparaître des attentes fortes concernant la formation et la réalisation de soins qui ne figurent pas dans les référentiels d’activités ou de compétences.
Simon HERSEMEULE (Corbeil-Essonnes), Stéphane MUNOZ, Ambre SAGNES, Valentin LELIÈVRE, Gaëtan BERNARD, Steven LAGADEC
16:00 - 17:30 #39056 - CP103 Evaluation de l’impact d’une formation par simulation sur les compétences relationnelles chez les étudiants infirmiers en pratique avancée.
CP103 Evaluation de l’impact d’une formation par simulation sur les compétences relationnelles chez les étudiants infirmiers en pratique avancée.

Introduction Les infirmiers en pratique avancée (IPA) aux urgences font partie des nouveaux métiers nécessitant l’acquisition de nouvelles postures professionnelles. La simulation humaine fait partie des techniques de pédagogie permettant cet apprentissage. Notre objectif était d’évaluer l’impact d’une formation par simulation humaine sur l’acquisition de compétences relationnelles chez des étudiants infirmiers en Pratique Avancée aux urgences. Méthode Nous avons conduit une étude interventionnelle de type avant-après. Les étudiants ont bénéficié d’une formation par simulation humaine dans un pôle de simulation pendant 3 heures abordant en jeu de rôle des situations relationnelles aux urgences (ECG anormal, gestion de l’attente, anomalie résultats biologiques, demande d’information de la famille). Nous avons réalisé une évaluation pré et post test des connaissances, des compétences relationnelles avec l’échelle de communication Cungi et Rey et de la satisfaction (échelle de Lickert en 5 points). Résultats Nous avons inclus 37 étudiants âgés de 38,91 ± 7.74 ans. Ils avaient une expérience professionnelle de 15,40 ± 7,23 ans. La satisfaction globale était de 4.84/5. Les items les plus appréciés étaient la convivialité (4.95/5), l’organisation et conditions matérielles (4.84) et l’utilité pratique (4.84). La note la moins élevé concerne la densité des informations transmises (4.70). La note moyenne des tests était significativement plus élevée après la séance de simulation (8,30 ± 1,02 en pré test, versus 8,92 ± 0,86 en post test, p = 0,013). Concernant les compétences relationnelles, le score moyen était de 63,00/80 ± 6,38 avant la séance de simulation et de 65,92/80 ± 5,74 après (p= 0,056). Discussion La formation par simulation permet l’amélioration des connaissance théoriques en communication mais peu des compétences relationnelles. Cela peut s’expliquer par l’expérience professionnelle élevée parmi les étudiants IPA. Le niveau de satisfaction était élevé. Les étudiants ont fait la demande de participer à des situations fictives avec un médecin, soucieux de leur future relation interprofessionnelle, ainsi que d’aborder des situations plus complexes en lien avec cette nouvelle posture. Conclusion La simulation est un outil pédagogique intéressant et appréciée des étudiants. Son impact chez les IPA reste à évaluer dans des situations d’annonces complexes et pourrait être intéressant dans les relations interprofessionnelles.
Clément BONHOMME (Pierre-Bénite), Morgane LEON, Serieys LAETITIA, Sabine PERRET, Sophie BRONDEX, Sophie VESCO, Sebastien BEROUD, Marion DOUPLAT
16:00 - 17:30 #39331 - CP104 Accès aux données scientifiques par les infirmiers d’urgence : enquête nationale de pratiques.
CP104 Accès aux données scientifiques par les infirmiers d’urgence : enquête nationale de pratiques.

Introduction L’actualité scientifique évolue constamment et entraine dans son sillage l’évolution des bonnes pratiques cliniques qui se nourrissent des données probantes publiées. La polyvalence des soins d’urgence implique un accès à des ressources scientifiques étendues. Si le développement du numérique facilite aujourd’hui la diffusion et l’accès aux publications scientifiques, l’appropriation de ces solutions par les infirmiers n’a jamais été étudié en France. Nous avons souhaité étudier les pratiques mobilisées par les infirmiers d’urgence pour accéder aux données scientifiques. Matériels et méthode Nous avons réalisé une étude déclarative nationale à l’aide d’un questionnaire en ligne diffusé largement sur les réseaux professionnels des infirmiers d’urgence. Résultats Nous avons analysé 581 questionnaires renseignés par des IDE (80%), des IDE Sapeurs-Pompiers (32 %), des IADE (7%) et des IPA (3%) de 88 départements. L’âge moyen des répondants était de 39 ans (±9), l’expérience dans les soins d’urgence de 11,5 ans (±8) et le sexe ratio F/H de 1,7. Les infirmier(e)s déclaraient un niveau universitaire de grade licence (78%) ou Master (21%), une maitrise des outils numériques (62%) et un niveau d’anglais scolaire (53%). Les infirmier(e)s consultaient les recommandations au moins une fois par an (67%) et des articles scientifiques au moins une fois par mois (57 %) issues de la littérature anglophone (34%) via des sites web (59%), des sources institutionnelles (58%), des réseaux sociaux (41%) ou des revues internationales (10%). Les moteurs de recherche utilisés étaient Google (70%) ou Google Scholar (5%) en utilisant des opérateurs (18%) ou un constructeur de requête (11%). Les sites d’evidence best practice consultés étaient la Cochrane (12%) ou Dynamed (3%) et 10% consultaient PubMed. Un grade Master, une maitrise du numérique et un niveau d’anglais avancé étaient associés à une lecture plus fréquente des articles scientifiques et des recommandations (p<0,01). 72% des infirmiers souhaitaient être formés sur les outils de recherche scientifique. Discussion/ Conclusion La culture scientifique des infirmiers d’urgence demeure modeste. L’accès aux données scientifiques semble être influencé par le niveau d’études, la maitrise des outils numériques et le niveau d’anglais. Le lien étroit qui semble unir la culture numérique et scientifique questionne sur la place qu’occupent ces concepts en formation initiale et pour la réingénierie prochaine de la formation.
Steven LAGADEC (Paris), Aline CHENOU, Perrine BOURSIN, Flavie BARRET, Loic MARTIN, Nadia TIBERTI, Francois Xavier LABORNE, Nicolas PESCHANSKI
16:00 - 17:30 #38903 - CP105 Intégration de l’IPA dans la prise en charge d’un patient en limitation thérapeutique aux urgences : vers une amélioration des pratiques professionnelles.
CP105 Intégration de l’IPA dans la prise en charge d’un patient en limitation thérapeutique aux urgences : vers une amélioration des pratiques professionnelles.

Introduction : Les soins palliatifs et la fin de vie sont des enjeux contemporains majeurs. Ainsi, 60% des décès en France surviennent dans un établissement de santé, dont 16% après un séjour bref (RFE SFMU 2018). L’INSEE prévoit une hausse d'environ 40% des décès annuels d'ici 2060. Les services d’urgences sont souvent en première ligne et cette tâche est complexe et pose plusieurs défis. Dans cette étude, nous avons identifié les difficultés rencontrées par les infirmiers des urgences, grâce à un état des lieux des pratiques professionnels. Puis nous avons extrait des axes d’amélioration, notamment en y intégrant les compétences de l’IPA. Méthode : Nous présentons ici une étude quantitative, par le biais d’un questionnaire, celle-ci a été réalisée auprès des infirmiers des urgences d’un département français. Nous avions un échantillon théorique global de 227 IDE, réparties sur hôpitaux publics. Résultats : Au total, 103 IDE ont répondu à notre questionnaire soit 45,4% [IC95% : [38,9-51,9%]. Nos résultats ont montré que 78% des IDE n’étaient pas satisfaits des prises en charge de leurs patients en fin de vie aux urgences. Ils étaient 77,7% à penser que les patients n’ont pas une prise en soins de qualité. 40,8% des IDE pensaient que leurs prises en charge de patient en fin de vie ne seraient pas acceptables pour eux-mêmes. Près de deux tiers des IDE nous rapportaient avoir déjà mal vécu ce type de situation (66%). Nos résultats ont également montré un important manque de formation dans le domaine de la fin de vie. Ainsi, 84,5% [IC95% : [76-90,9%]] d’entre eux pensaient ne pas être suffisamment formés. Nous avons cherché à déterminer le rôle que l’équipe attriburait à l’IPA dans ce contexte. Les IDE semblaient voir l’IPA comme un potentiel référent identifié en soins palliatifs à 63,1%. L’IPA était également vu comme un coordinateur à 54,4%, puis sur un autre versant comme un formateur (46,6%) grâce notamment à un apport scientifique (43,7%). Conclusion : L’implantation de l’IPA pourrait permettre un suivi rapproché et une meilleure prise en charge du patient en fin de vie aux urgences. Il faciliterait la coordination et la collaboration entre les différents professionnels. Enfin, sa compétence formative et sa position de référent pourraient conduire à une amélioration des pratiques professionnelles ; notamment avec l’utilisation d’un nouvel outil formatif (escape game).
Virginie RESTOUILH (Strasbourg), Sylvie KLEIN-ULLESTAD, Lionel BAUER, Pascal BILBAULT, Pierrick LE BORGNE
16:00 - 17:30 #39057 - CP113 État des lieux de la place des familles dans les services d’urgences.
CP113 État des lieux de la place des familles dans les services d’urgences.

Introduction : La présence d’un proche auprès d’un patient aux urgences n’est pas clairement définie au niveau national, chaque service établit ses propres règles. L’objectif de cette étude était de faire un état des lieux de la place des familles dans les services d’urgences. Méthode : Nous avons mené une étude observationnelle auprès des cadres de santé des services d’urgence de Rhône Alpes faisant partie de la collégiale des Urgences (Réseau organisationnel). Un questionnaire anonyme leur a été envoyé. Résultats : Nous avons obtenu 28 réponses soit un taux de réponse de 100%. Les réponses provenaient des centres hospitaliers universitaires (75%), des centres hospitaliers périphériques (14%), des établissements de santé privés d'intérêt collectif (7%) et des cliniques privées (4%). Pour 57% des services les familles sont présentes : 32% les autorisent sans restriction, 21% en cas de fin de vie et pour les personnes vulnérables, 12% si barrière de la langue et 6% lors d’une situation d’urgence vitale ou à la demande du patient. Pour 69%, les familles sont présentes tout au long de la prise en charge (PEC), 37% lors de l’accueil par l’IOA, 31% en fin de PEC, 25% en zone d’attente et 19% pendant la PEC médicale. Un accompagnant est autorisé pour 62.5% et deux pour 37.5%. Le temps de visite est limité à moins de 30 minutes pour 19% et sans restriction pour 81%. La présence des familles est protocolisée dans 37.5% des services. Pour les services qui n’autorisent pas les familles (43%), les raisons invoquées sont :la volonté de l’équipe médicale et paramédicale (92%), un flux de patient trop important (75%), un manque de place (50%) et une décision institutionnelle (25%). Parmi les freins à la présence des familles on retrouve : le flux de patient (75%), les locaux inadaptés (57%), l’agressivité de la famille (46%), la réticence de l’équipe paramédicale (39%) et médicale (25%). Les bénéfices identifiés sont l’apaisement des patients (82%), une meilleure compréhension (61%) et une diminution de l’agressivité (46%). Certains services (68%) possèdent une salle dédiée à la communication avec la famille et pour 79%, la pandémie au COVID 19 a entraîné plus de restrictions. Conclusion : La présence des familles est loin d’être systématique dans les services d’urgences malgré des bénéfices identifiés par les soignants. Les freins semblent être plus structurels mais également de la part de soignants. L’évaluation de l’impact de la présence des familles reste à évaluer.
Serieys LAETITIA (Lyon), Sabine PERRET, Cindy HERNANDEZ, Sebastien BEROUD, Sophie VESCO, Goeffrey SAGNOL, Sophie BRONDEX, Marion DOUPLAT
Salle 252A

"Mercredi 05 juin"

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CS07
16:00 - 17:00

Conférence Soignants
Brûlures et dommages liés
Pathologie circonstancielle, Régulation

Modérateurs : Magali GUERIN (Paramed) (Niort), Christelle HILAIRE (Chef de projet Scientifique) (ST DENIS)
Coordonnateur : Geoffrey GALOPIN (Coordonnateur, Dijon)
Régulation/SAU
16:00 - 16:20 De l'appel à l'orientation, les bons réflexes en régulation. Beatrice CLARE (ARM) (Conférencier, Tulle)
16:20 - 16:40 La brûlures dans tous ses états. Marc MARTENS-SCHULTE (Infirmier) (Conférencier, Bordeaux)
16:40 - 17:00 Les intoxications liées. Clément ROUXEL (Ide) (Conférencier, Dijon)
Salle 342A
08:45

"Jeudi 06 juin"

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AS31
08:45 - 10:15

Atelier Soignants
Triage des enfants dans un SAU enfants/adultes
Triage, Pédiatrie

Coordonnateur : Danièle VAN DER ROOST (Coordonnateur, La Louvière, Belgique)
Conférenciers : Ludivine NELISSEN (soignant ic urgences) (Conférencier, La Louvière, Belgique), Danièle VAN DER ROOST (IDE puer SISU) (Conférencier, La Louvière, Belgique)
Présentation des spécificités pédiatriques de différentes échelles de triage et, à travers plusieurs cas cliniques spécifiques, appréhension des difficultés pratiques rencontrées dans l’utilisation d’échelles validées internationalement : ETGP canadienne, ICTS pédiatrique Irlandaise (Manchester adaptée aux enfants), ESI Emergency Severity Index américaine et New French. L’utilisation de cas cliniques permet l’identification des critères de gravité spécifiques aux enfants et l’attribution d’une catégorie de gravité dans chaque échelle présentée. Nous proposons une comparaison et une discussion des résultats dans les différents scores pour chaque cas clinique, avec travail de groupe supervisé directement par les intervenants.
Salle 343
09:15

"Jeudi 06 juin"

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SIS01
09:15 - 10:15

Session Interactive Soignants
Quiz : les pièges de l'ECG.

Modérateur : Lionel DEGOMME (IADE) (Paris)
Coordonnateur : Emeline DELON (Coordonnateur, Nîmes)
09:15 - 10:15 Quiz : les pièges de l'ECG. Hélène DEHAUT (IDE) (Conférencier, Lille)
Salle 243
11:00

"Jeudi 06 juin"

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TRS01
11:00 - 12:30

Table Ronde Soignants
Le pré-hospitalier de demain
Ambulanciers, ARM, Infirmier, Organisation SAMU/SMUR, Pédagogie - Enseignement - Formation, Profession - Métier, Régulation

Modérateurs : Merlin DESCOURS (Infirmier) (Toulon), Aurélien LANDIÉ (IDE SMUR/REA/CESU) (Rodez)
Coordonnateur : Marc Antoine BARON (Coordonnateur, Avranches)
Nouveaux actes pour les pompiers et les ambulanciers, émergence des UMH-P, place des infirmiers en CRRA, les bouleversements de notre spécialités sont nombreux. Essayons d'imaginer le futur.
11:00 - 11:15 Les UMH-P, OK mais encore ? Magali GUERIN (Paramed) (Conférencier, Niort)
11:15 - 11:30 Quoi de neuf chez les ambulanciers : présentation du référentiel métier ambulancier SMUR. Jean-Baptiste MAGNIN (Ambulancier SMUR) (Conférencier, Brest), Yann COEN (Ambulancier SMUR) (Conférencier, Brest)
11:30 - 11:45 Des infirmiers en régulation. Sylvaine COMTE DE LUZY (Cadre de santé IADE) (Conférencier, Bordeaux)
11:45 - 12:00 Maintien des compétences et formation des professionnels aux nouveaux gestes. Luc BAUDELOT (Cadre de santé) (Conférencier, Rennes)
12:00 - 12:30 Débat.
Salle 241

"Jeudi 06 juin"

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CLS02
11:00 - 12:30

Communications Libres Soignants
U d'Or Soignants

Modérateurs : Marc Antoine BARON (IDE) (Avranches), Beatrice CLARE (ARM) (Tulle)
11:00 - 12:30 #39217 - CP94 Prévention de l'hypothermie chez les victimes de traumatismes. Etude HYPOTRAUM 2.
CP94 Prévention de l'hypothermie chez les victimes de traumatismes. Etude HYPOTRAUM 2.

Introduction L’hypothermie est un facteur indépendant de mortalité des patients traumatisés (Perlman, Crit Care, 2016). Qu’une intervention spécifique puisse la prévenir est incertain. C’est ce que nous avons testé. Méthodes Etude préhospitalière, multicentrique, prospective, interventionnelle, randomisée, PHRIP. Inclusion : traumatisé (âge > 18 ans) avec signe de gravité ou risque d’hypothermie : température ambiante < 18°C, température corporelle (TC) < 35°C, Glasgow < 15 ou PAS < 100 mmHg. Randomisation (par cluster) : stratégie conventionnelle vs interventionnelle = pas de déshabillage, couverture de protection précoce, monitorage continu TC, installation précoce dans ambulance chauffée (cible 35°C), réchauffement solutés (cible 35°C). Critères de jugement principal : hypothermie = TC < 35 et 36°C à arrivée à hôpital et secondaire : mortalité à J90. Résultats 1.084 patients : 779 (72%) hommes et 305 (28%) femmes, d’âge médian = 42 (28-57) ans Traumatismes : crâne = 517 (48%) ; thorax = 293 (27%) ; abdomen = 136 (13%) ; bassin = 178 (16%), rachis = 190 (18%) et membre = 228 (21%) TC initiale = 35,1 (34,1-36,1)°C Glasgow = 15 (15-15) PAS = 133 (119-149) mmHg FC : 84 (72-98) b/min TC à hôpital : 36,1 (35,2-36,8) avec réduction significative du taux d’hypothermie dans le groupe interventionnel (Tableau) Conclusion Une prise en charge invasive a significativement réduit le taux d’hypothermie des traumatisés. Ce bénéfice était associé à une tendance forte à la réduction de mortalité à 3 mois.
Frédéric LAPOSTOLLE, Bruno GARRIGUE (Bonnay), Guillaume DEBATY, Ismaël SLIMANI, Ingrid SIBER-TONNE, Agnès RICARD-HIBON, Valérie MAZUR, Eric VICAUT
11:00 - 12:30 #39093 - CP95 Quels sont les facteurs influençant la mise en place de voies d'abord vasculaire lors de l'arret cardiaque extra hospitalier de l'adulte.
CP95 Quels sont les facteurs influençant la mise en place de voies d'abord vasculaire lors de l'arret cardiaque extra hospitalier de l'adulte.

Introduction : La mise en place d’une voie d’abord veineuse périphérique (VVP) ou intra-osseuse (VIO) lors d’un arrêt cardiaque extra-hospitalier (ACEH) permet d’optimiser les chances d’une reprise d’activité cardiaque spontanée. L’objectif principal de ce travail est d’évaluer les pratiques professionnelles des infirmiers smur (IS) en terme de choix d’abords vasculaires au cours d’un ACEH. L’objectif secondaire est d’étudier les facteurs influençant la réussite de la pose d’un d’abord vasculaire par l’IS lors d’un ACEH. Méthode : Étude prospective, observationnelle, multicentrique incluant toute intervention smur pour un ACEH où un accès vasculaire est mis en place par l’IS entre avril et octobre 2023. Le recueil des données a été réalisé à l’aide des fiches RéAC et d’un formulaire spécifique créé pour l’étude et rempli par l’IS au retour d’intervention. Le type de voie d’abord, le site de pose et le nombre de tentatives de pose ont été colligés. Les caractéristiques de la victime (âge, sexe, IMC), environnementales (environnement stressant, hostile, exigu, sale) et professionnelles (notamment années d’expérience smur) de l’IS ont également été recueillies. Résultats : Cent vingt sept ACEH avec pose d’un abord vasculaire par l’IS ont été inclus. La VVP a été choisie en première intention dans 83% (n=105) avec un taux de réussite de 68% au premier essai. La VIO a été choisie en premier intention dans 17% des cas (n=22) avec un taux de réussite de 100% au premier essai (p<0,01). En cas d’espace exigu ou d’expérience professionnelle de l’IS < à 3 ans ou de patient avec un IMC > 40, le taux de réussite de mise en place de VVP au 1er essai passe respectivement à 57%, 27% et 25%. Après échec de la pose d’une 1ère VVP (n=34), les IS tentent de poser une nouvelle VVP dans 47% des cas. Le taux de réussite de la pose d’une VVP au 2ème essai est de 37,5%. En cas de pose de VIO au deuxième essai, le taux de réussite est de 89% (p<0.01). Conclusion : Les IS choisissent majoritairement de poser une VVP en 1ère intention au cours d’un ACEH alors que le taux de réussite au 1er essai est statistiquement plus faible que lors de la pose d’une VIO. En cas de 2ème tentative, le taux de réussite de la VVP est encore plus faible et devrait faire préférer le choix de la VIO. Certains facteurs diminuent la réussite de mise en place de VVP au 1er essai et doivent donc être connus afin d’avoir recours à la VIO dès le 1er essai.
Bastien VAN OVERBECK, Marc Antoine CORDIER (MARSEILLE)
11:00 - 12:30 #39029 - CP96 L'action sociale départementale au coeur de la régulation.
CP96 L'action sociale départementale au coeur de la régulation.

Introduction : L’évolution exponentielle des situations de détresse sociale a un impact fort sur le fonctionnement des services de secours. Le Département a souhaité apporter une réponse aux problématiques sociales repérées, en créant une PES (Plateforme d’Ecoute Sociale) au sein du CTRA (Centre de Traitement des Appels), et nous avons voulu en évaluer la plus-value. Matériel et méthode : Présence sur le CTRA de travailleurs sociaux au 1er octobre 2022. La PES, co construite avec le CENTRE15 et le CODIS (Centre Opérationnel Départemental Incendie et de Secours), a élaboré des outils et procédures en commun : fiche de repérage avec des critères de fragilités définis, circuit de traitement des signalements, arbre décisionnel. Une étude prospective monocentrique a été réalisée sur une période de 13 mois incluant : les opérateurs CODIS, les agents téléalarme du Département, les ARM (Assistants de Régulation Médicale), les médecins MRU (Médecin Régulateur Urgentiste) et MRG (Médecin Régulateur Généraliste). Résultats : 849 fiches de repérage reçues des partenaires du CTRA, dont 513 (60%) du CENTRE 15. Nous avons 408 femmes (48%) et 441 hommes (52%). 353 (41%) ont plus de 75 ans, 218 (25,67%) ont de 60 à 75 ans, et 223 (26%) de 18 à 60 ans. 55 (6%) concernent des mineurs, dont plus de la moitié ont fait l’objet d’un signalement auprès de la CRIP (cellule de recueil des informations préoccupantes). 285 (33%) ne sont pas connues des services sociaux. Leur prise en compte par les services du Département a permis un accès aux droits important notamment dans le domaine de l’autonomie où plus de 60% des personnes âgées dépendantes ont pu accéder à une ouverture de droits APA. Les travailleurs sociaux sont sollicités par : la fiche de repérage 557 (66%), des échanges sur le plateau 169 (20%), la mise en relation directe de l’appelant 123 (14%). Les problématiques sont multifactorielles, bien que les motifs initiaux d’appels relèvent d’une thématique médicale : 20% aggravation pathologie, 14% détresse psychologique, 10% chute. Une analyse plus fine en révèle la composante sociale : 16% épuisement de l’aidant, 12% incurie, 11% isolement, 10% difficultés d’accès aux aides. Conclusion : Ce dispositif favorise la prise en charge précoce pour éviter la dégradation des situations. Le décloisonnement des champs sanitaire et social permet de répondre aux besoins larges et multidimensionnels des usagers. Le CENTRE15 et le CODIS peuvent se recentrer sur leurs missions premières.
Eric PERRET (Annecy), Thierry ROUPIOZ, Maeva CAMUNEZ, Geraldine DELIVET, Christine EDWARDS, Gilles PASCAL
11:00 - 12:30 #39052 - CP98 Infirmiers de régulation au SAMU : Non mais allo, quoi !
CP98 Infirmiers de régulation au SAMU : Non mais allo, quoi !

Introduction: L’activité de régulation des infirmiers au service d'aide médicale urgente (SAMU) demeure peu répandue en France. Depuis 2021, des infirmiers diplômés d’état (IDE) et des infirmiers anesthésistes diplômés d’état (IADE) d’une structure mobile d’urgence et de réanimation exercent une activité de régulation quotidienne et continue de 12 h à 20 h au sein de notre SAMU d’Île-de-France. Cette nouvelle fonction permet, sous supervision médicale, de renforcer les équipes de régulation en assurant la prise des bilans secouristes (pompiers et ambulances) supposés non graves et autoriser le transport des patients. Cette pratique demeure peu étudiée dans l’organisation des SAMU Français. Nous avons souhaité étudier la nature des appels régulés par les I(A)DE et l’influence de cette activité sur le fonctionnement d’un SAMU. Matériels et méthode: Nous avons réalisé une étude descriptive monocentrique de l’activité de régulation des I(A)DE à partir des dossiers et des appels de régulation. Résultats: Nous avons analysé 20 545 dossiers et appels pour bilan traités du 1er janvier au 28 novembre 2023 par 22 IDE (82%) et IADE (18%). L’âge moyen des I(A)DE était de 44 ans (±9), l’expérience en SMUR de 8 ans (±6) et le sexe ratio F/H de 1,2. Les I(A)DE ont régulé 8,5% des 242 448 dossiers sur la période. Les principaux motifs d’appels étaient des bilans traumatologiques (27%), neurologiques (22%), respiratoires (8%), cardiologiques (5%) et psychiatriques (5%). La durée moyenne d’un bilan était de 2,1 minutes (±1,26 min) et 13% des dossiers ont nécessités un avis médical. L’expérience n’influençait pas les durées d’appel tandis que les I(A)DE de plus de 45 ans passaient plus de temps en ligne (p<0.01). Un recours au médecin régulateur était plus fréquent pour les I(A)DE de moins de 45 ans (p<0.01) et les I(A)DE qui avaient moins de 10 ans d’expérience (p<0.01). Discussion/conclusion: Notre étude suggère que les bilans régulés par les I(A)DE sont de natures variées avec une forte proportion de traumatologie et de neurologie. Le recours au médecin régulateur semble inversement proportionnel à l’âge et l’expérience des I(A)DE. L’activité de régulation permet de soulager considérablement l’activité de régulation médicale. En l’absence de cadre règlementaire précis encadrant cette activité il serait intéressant d’étudier le devenir des patients de façon à établir si l’activité de régulation déléguée aux I(A)DE apporte toutes les garanties de sécurité pour nos patients.
Steven LAGADEC (Paris), Emmanuel DINOT, Vanessa LOBJOIS, Charlène CACKAERT, Georges-Antoine CAPITANI, Véronique GALTIER, Francois Xavier LABORNE, Jean-Philippe DESCLEFS
11:00 - 12:30 #39224 - CP99 Analyse des risques liés aux transferts infirmiers inter-hospitaliers terrestres et héliportés.
CP99 Analyse des risques liés aux transferts infirmiers inter-hospitaliers terrestres et héliportés.

Introduction : Les transferts infirmiers inter- hospitaliers (T2IH) terrestres ont été instaurés dans notre SAMU en mars 2018. Les T2IH héliportés ont débuté à partir du 1er juin 2021. L’objectif était d’étudier les caractéristiques des patients et les évènements porteurs de risque (EPR) survenus lors des T2IH terrestres et héliportés. Méthode : Il s’agit d’une étude observationnelle rétrospective et monocentrique concernant tous les T2IH réalisés sur la période du 01/ 06/2022 au 30 /11/ 2023 par notre SAMU. Dans notre structure, les T2IH sont possibles pour le transport de patients ne présentant pas de détresse vitale, mais qui nécessitent un monitorage et/ ou la poursuite de certains traitements en cours de transport. L’indication de ses T2IH doit être validée par le médecin régulateur urgentiste en amont, puis le T2IH est décidé après l’évaluation par l’infirmier à l’arrivée auprès du patient. Le critère de jugement principal était d’évaluer et de comparer le taux de survenue d’un EPR lors des T2IH terrestres et héliportés. Résultats : Sur 18 mois, 640 T2IH ont été réalisés dont 204 (32%) héliportés. Il concerne majoritairement des adulte (96%) La moyenne d’âge des patients était de 63±2 ans, avec un sexe ratio H/F de 1,52. Dans la majorité des cas, il s’agissait de pathologie cardio vasculaire (43%) et de neurologique (13%). Les patients bénéficiant d’un transport héliporté étaient plus jeunes (60±3, vs 64± 2, p<0.001), la durée totale de la prise en charge était statistiquement plus longue pour les T2IH héliportés (132± 12vs. 107± 5 minutes, p<0.0001). Douze (2%) EPR ont été documentés. Il n’y avait pas de différence de survenue d’EPR entre les T2IH héliportés et terrestres (3 vs 9, p=0,76). Il s’agissait principalement d’instabilité hémodynamique (58%). Dans 5/12 situations (42%), le T2IH a été transformé en SMUR secondaire, tous sous forme de T2IH terrestre. Conclusion : Les risques liés aux T2IH sont faibles. Il n’y a pas de différence dans la survenue des EPR entre les T2IH terrestres et héliportés.
Corinne GELIN (DIJON), Pauline FOISSETTE, Riadh TFIFHA, Alban CHANTEGRET, Patrick RAY, Pascal INCAGNOLI
11:00 - 12:30 #39156 - CP100 Pertinence de l'utilisation du cathéter veineux obturé chez les patients avec un score de tri 3A, 3B et 4 aux urgences : une étude prospective.
CP100 Pertinence de l'utilisation du cathéter veineux obturé chez les patients avec un score de tri 3A, 3B et 4 aux urgences : une étude prospective.

Introduction : Le cathéter veineux périphérique obturé avec tubulure d’extension résistante à la pression (KTO) est un dispositif permettant un accès veineux pour l’administration de traitements ou la réalisation de nouveaux prélèvements, tout en conservant la mobilité du patient. L’objectif principal de cette étude était de déterminer le nombre de KTO prescrits mais non utilisés chez les patients avec un score de tri French 3A, 3B et 4 à l’arrivée aux urgences. Méthode : Étude prospective monocentrique observationnelle réalisée aux urgences du CHU de Rouen du 29 septembre au 1er octobre 2023. Les patients inclus étaient ceux avec un score de tri French 3A, 3B ou 4 avec une prescription de KTO. Le critère de jugement principal était la non-utilité du KTO définie par l’absence de reprélèvement sanguin, d’injection de produit de contraste ou d’administration de thérapeutique intraveineuse lors du passage aux urgences. Les critères de jugement secondaires étaient le motif d’utilisation du dispositif (administration de traitement, de produit de contraste et reprélèvement). Une analyse descriptive a été réalisée. Résultats : Sur 100 patients inclus, 39 KTO n’ont pas été utilisés. Par ailleurs, 61 KTO ont été réutilisés dont 10 pour un reprélèvement (avec 2 échecs), 2 pour une injection de produits de contraste et 53 pour une administration de traitement intraveineux. Parmi les traitements administrés, 24 administrations d’antalgiques ont été réalisées, 20 de solutés, 10 d’antibiotiques, 8 d’antiémétiques, 5 d'autres produits et 4 de diurétiques. Conclusion : Chez les patients avec un score de tri French 3A, 3B et 4 qui représentent 80% de la population du service d’urgence étudié, près de 40% des KTO qui ont été prescrits n’ont pas été utilisés.
Jessica BORTZMEYER (Rouen), Mehdi TAALBA, Deborah LEBEDIEFF, Camille CHARBONNIER LE CLÉZIO, Elie LACROIX, Luc-Marie JOLY, Mélanie ROUSSEL
Salle 252A

"Jeudi 06 juin"

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CS01
11:00 - 12:30

Conférence Soignants
NRBC : quelle organisation de nos structures d'urgences
Ambulanciers, ARM, Catastrophe SSE CUMP, Infirmier, Organisation Services d'Urgences

Modérateurs : Sébastien BATRANCOURT (Infirmier) (Paris), Laurent GABILLY (médecin) (Lyon)
Coordonnateur : Merlin DESCOURS (Coordonnateur, Toulon)
La crise de la COVID a plongé nos structures d'urgences face à un défi : comment organiser l'accueil de nombreux patients contagieux ? Comment protéger les équipes et les autres patients ? Comment repérer les patients suspects ? Quelle organisation pour demain ?
11:00 - 11:22 L'ARM, acteur de première ligne face aux risques. Alexandre MALUGA (ARM-ASD) (Conférencier, Lyon)
11:22 - 11:44 SRAS, COVID, Variole, Grippes, Ebola, ... : quelle organisation des soins ? Hélène COIGNARD (Médecin) (Conférencier, Lyon)
11:44 - 12:06 Gérer le risque nucléaire. Emmanuel BERNIGAUD (Praticien hospitalier) (Conférencier, Nantes)
12:06 - 12:28 Ambiance NRBC : une approche interprofessionnelle. Cécile VANKIERSBILCK (Cadre Supérieure de Santé - Responsable pédagogique au CNCMFE) (Conférencier, Aix-en-Provence), Vincent DUBROUS (Adjoint au chef) (Conférencier, Aix-en-Provence)
Salle 342A
14:00

"Jeudi 06 juin"

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CS05
14:00 - 15:30

Conférence Soignants
Intégrer la prise en charge psychiatrique & psychologique aux Urgences : innovation et modalités
Infirmier, Organisation Services d'Urgences, Psychologue, Régulation

Modérateurs : Merlin DESCOURS (Infirmier) (Toulon), Magali GUERIN (Paramed) (Niort)
Coordonnateur : Carla DE STEFANO (Coordonnateur, Paris)
La prise en charge psychiatrique et psychologique représente un atout pour les urgences. Soyez en convaincu grâce à cette session abordant différents aspects professionnels de la santé mentale.
14:00 - 14:22 Le travail du psychologue aux Urgences. Carla DE STEFANO (psychologue) (Conférencier, Paris)
14:22 - 14:44 L'aspect psychologique: un indispensable de la prise en charge. Pauline DELAVAUD (Psychologue) (Conférencier, Paris)
14:44 - 15:06 L'IPA Santé mentale : un atout pour la prise en charge aux Urgences ? Romain PEROT (Infirmier en Pratique Avancée) (Conférencier, Paris)
15:06 - 15:28 IDE psy en régulation. Thomas MARFAING REBOURS (Infirmier) (Conférencier, Rennes)
Salle 242A

"Jeudi 06 juin"

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AS34 A
14:00 - 15:30

Atelier Soignants
Réanimation cardiopulmonaire pédiatrique de base
Thérapeutique, Pédiatrie

Coordonnateur : Danièle VAN DER ROOST (Coordonnateur, La Louvière, Belgique)
Conférenciers : Andreas MOHLER (Medecin) (Conférencier, Bruxelles, Belgique), Elise THIELEMANS (Pédiatre) (Conférencier, Bruxelles, Belgique), Frédéric TITS (soignant) (Conférencier, Bruxelles, Belgique), Joachim WITTEMANS (infirmier) (Conférencier, Bruxelles, Belgique)
•Exposer les spécificités de la réanimation cardiopulmonaire pédiatrique de base suivant les guidelines ERC 2020
•Expliciter et démontrer les procédures pratiques et les précautions à respecter lors de la ventilation (bouche à bouche et bouche à bouche/nez) et du massage cardiaque chez le nourrisson et l’enfant
•Mettre en œuvre les gestes sur mannequins
!! Il s’agit bien d’un atelier de réanimation pédiatrique de base !!
Salle 343
16:00

"Jeudi 06 juin"

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SIS02
16:00 - 17:00

Session Interactive Soignants
Quiz : les pièges du tri

Modérateur : Emeline DELON (infirmière) (Nîmes)
Coordonnateur : Olivier PICOT (Coordonnateur, Paris)
16:00 - 17:00 Quiz : les pièges du tri. Olivier PICOT (IDE) (Conférencier, Paris)
Salle 243

"Jeudi 06 juin"

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AS34 B
16:00 - 17:30

Atelier Soignants
Réanimation cardiopulmonaire pédiatrique de base
Thérapeutique, Pédiatrie

Coordonnateur : Danièle VAN DER ROOST (Coordonnateur, La Louvière, Belgique)
Conférenciers : Andreas MOHLER (Medecin) (Conférencier, Bruxelles, Belgique), Elise THIELEMANS (Pédiatre) (Conférencier, Bruxelles, Belgique), Frédéric TITS (soignant) (Conférencier, Bruxelles, Belgique), Joachim WITTEMANS (infirmier) (Conférencier, Bruxelles, Belgique)
•Exposer les spécificités de la réanimation cardiopulmonaire pédiatrique de base suivant les guidelines ERC 2020
•Expliciter et démontrer les procédures pratiques et les précautions à respecter lors de la ventilation (bouche à bouche et bouche à bouche/nez) et du massage cardiaque chez le nourrisson et l’enfant
•Mettre en œuvre les gestes sur mannequins
!! Il s’agit bien d’un atelier de réanimation pédiatrique de base !!
Salle 343
08:45

"Vendredi 07 juin"

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AS33 A
08:45 - 10:15

Atelier Soignants
Conditionnement et déconditionnement du traumatisé grave
Thérapeutique, Traumatologie

Coordonnateur : Yann COEN (Coordonnateur, Brest)
Conférenciers : Christian CARIOU (IDE) (Conférencier, Brest), Jean-Baptiste MAGNIN (Ambulancier SMUR) (Conférencier, Brest)
Revoir le matériel et les techniques d'immobilisation qui sont utilisées tous les jours en SMUR et SAUV :
Collier cervical, civière cuillère, MID, ceinture pelvienne, attelle de traction (CT6), garrot tourniquet, plan dur (araignée), bloc tête (speedblock), attelle cervico-thoracique (ACT). Apprendre aussi à marier le matériel d'immobilisation sur un patient déjà lourdement techniqué.
Salle 253
09:15

"Vendredi 07 juin"

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CS04
09:15 - 10:15

Conférence Soignants
Carrefour de l'actualité CUMP
Catastrophe SSE CUMP, Psychologue

Modérateur : Beatrice CLARE (ARM) (Tulle)
Coordonnateur : Carla DE STEFANO (Coordonnateur, Paris)
Les Cellules d'Urgence Medico Psychologique (CUMP) sont declenchées par le SAMU pour la prise en charge des chocs psychiques après un évènement traumatique, afin de prevenir les consequences qui en decoulent. Cette session traite les sujets les plus actuels sur cette forte collaboration entre le SAMU et les CUMP, concernant les deuils traumatiques, la prise en charge des familles et des acteurs de l'urgence.
09:15 - 09:35 Familles endeuillées par suicide : deuil traumatique et post vention individuelle. Carla DE STEFANO (psychologue) (Conférencier, Paris)
09:35 - 09:55 Mort inattendue du nourrisson : quel impact psychologique pour les acteurs de l'urgence? Julie FRY (psychologue référente) (Conférencier, Lille)
09:55 - 10:15 Les CUMP aux côtés des soignants et medecins. Caroline TURCHINI DE GUILLENCHMIDT (Psychiatre) (Conférencier, Versailles)
Salle 242B
10:20

"Vendredi 07 juin"

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URGMEET09
10:20 - 10:40

UrgencesMeet
Commission Des Soignants - Devenir ambassadeur soignant
UrgencesMeet

Coordonnateur : Aline CHENOU (Coordonnateur, Strasbourg)
Conférenciers : Aline CHENOU (IDE-EIPA) (Conférencier, Strasbourg), Jean-Baptiste MAGNIN (Ambulancier SMUR) (Conférencier, Brest)
Espace Networking
11:00

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AS33 B
11:00 - 12:30

Atelier Soignants
Conditionnement et déconditionnement du traumatisé grave
Thérapeutique, Traumatologie

Coordonnateur : Yann COEN (Coordonnateur, Brest)
Conférenciers : Christian CARIOU (IDE) (Conférencier, Brest), Jean-Baptiste MAGNIN (Ambulancier SMUR) (Conférencier, Brest)
Revoir le matériel et les techniques d'immobilisation qui sont utilisées tous les jours en SMUR et SAUV :
Collier cervical, civière cuillère, MID, ceinture pelvienne, attelle de traction (CT6), garrot tourniquet, plan dur (araignée), bloc tête (speedblock), attelle cervico-thoracique (ACT). Apprendre aussi à marier le matériel d'immobilisation sur un patient déjà lourdement techniqué.
Salle 253

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CS03
11:00 - 12:30

Conférence Soignants
Urgences sociales : repères pour quand on ne sait plus quoi faire
Organisation Services d'Urgences

Modérateurs : Marc Antoine BARON (IDE) (Avranches), Caroline VAREILLE (assistante sociale) (Paris)
Coordonnateur : Marc Antoine BARON (Coordonnateur, Avranches)
Besoin de repères dans des situations parfois complexes ? Cette session est faite pour vous.
11:00 - 11:22 Mineurs en danger : conduite à tenir. Claire EL KHEBIR (Cadre supérieur socio-éducatif) (Conférencier, Paris)
11:22 - 11:44 Breaking bad aux Urgences : que faire des stupéfiants ? Hélène DIOT (Infirmière) (Conférencier, Paris)
11:44 - 12:06 Signalement des violences au sein du couple. Laora TILMAN (Conférencier, Paris)
12:06 - 12:28 L'inventaire aux Urgences : que dit la loi. Olivier PICOT (IDE) (Conférencier, Paris)
Salle 342B
14:00

"Vendredi 07 juin"

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TRS02
14:00 - 15:30

Table Ronde Soignants
La recherche paramédicale au service des Urgences
Infirmier, Recherche

Modérateurs : Aline CHENOU (IDE-EIPA) (Strasbourg), Mylène MASSON (IDE RECHERCHE CLINIQUE) (Lyon)
Coordonnateur : Aline CHENOU (Coordonnateur, Strasbourg)
Etat des lieux de la recherche paramédicale. Une démarche à favoriser. Pour qui ? Pourquoi ?
14:00 - 14:15 Tour d'horizon de l'état de la recherche paramédicale aux Urgences. Christelle HILAIRE (Chef de projet Scientifique) (Conférencier, ST DENIS)
14:15 - 14:30 Etre infirmier et doctorant. Julie DEVICTOR (IPA) (Conférencier, Clichy)
14:30 - 14:45 Favoriser l'émergence de la recherche aux Urgences. Judith LEBLANC (Maitre de conférences / Coordinatrice paramédicale recherche) (Conférencier, Paris)
14:45 - 15:00 Chercher pour le terrain : l'utilité de la recherche pour améliorer les pratiques auprès du patient. Benoit CHALANCON (infirmier) (Conférencier, Lyon)
15:00 - 15:30 Débat.
Salle 242B