Mardi 06 juin
09:00

"Mardi 06 juin"

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PC02
09:00 - 17:00

Journée des Infirmiers de l'Urgence / 1ère édition !

Modérateur : Nicolas TERMOZ MASSON (Infirmier) (Grenoble)
Coordonnateur : Nicolas TERMOZ MASSON (Coordonnateur, Grenoble)
09:00 - 10:15 Gestion de la douleur. Bruno GARRIGUE (IADE cadre de santé) (Conférencier, Bonnay)
La douleur dans tous ses états :
Physiologie de la douleur
Présentation des différents types de douleur
Les échelles d'évaluation de la douleur : Auto et hétéro évaluation
L'adaptation des échelles de la douleur au patient (pédiatrie, personne âgée)
Et demain ? L'évaluation de la douleur via un dispositif de mesure de la douleur
Pharmacologie de la douleur :
Les différentes classes thérapeutiques
Quelle thérapeutique pour quel type de douleur ?
Cas pratiques
Discussion autour de l'intérêt d'une pose de PCA de Morphine aux urgences dans certaines pathologies
Hypnose dans le domaine de l'urgence :
Définir l'hypnose
Expliquer le fonctionnement de l'hypnose
Intérêt de l'hypnose dans la prise en charge de la douleur
Etat hypnotique et réalité virtuelle : Une piste pour la gestion de la douleur?
Distinction entre hypnose et distraction
10:30 - 12:00 Approche et particularité de la prise en charge du patient agressif. David BARRAUD (IDE) (Conférencier, Grenoble), Noémie AYACHE (Conférencier, Paris)
La patient agressif : gérer une situation de violence aux Urgences
La contention : présenter les différentes techniques
14:00 - 15:15 Le Triage. Olivier PICOT (IDE) (Conférencier, Paris), Romuald MENORET (IDE) (Conférencier, Paris)
Le triage en IOA : explorer les bases du triage
Le triage en pré-hospitalier : présenter les différentes méthodologies de triage en pré-hospitalier et le mettre en pratique
15:30 - 17:00 Spécificité des urgences vitales. Clément ROUXEL (Ide) (Conférencier, Dijon), Geoffrey GALOPIN (Infirmier) (Conférencier, Dijon)
Concept et réglementation rôle IDE en SAUV : définir la SAUV et ses spécificités au sein d'un service d'urgence
Principe de Leadership paramédicale en SAUV : décrire le rôle IDE dans le contexte de la SAUV, aborder les techniques de communications en situation d'urgence vitale
Cas clinique interactif
Salles 224-225-226
Mercredi 07 juin
11:00

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AS39 A
11:00 - 12:30

Atelier Soignants
Réanimation cardiopulmonaire pédiatrique de base
Pédiatrie

Coordonnateur : Danièle VAN DER ROOST (Coordonnateur, La Louvière, Belgique)
Conférenciers : Andreas MOHLER (Medecin) (Conférencier, Bruxelles, Belgique), Elise THIELEMANS (Pédiatre) (Conférencier, Bruxelles, Belgique), Frédéric TITS (soignant) (Conférencier, Bruxelles, Belgique), Joachim WITTEMANS (infirmier) (Conférencier, Bruxelles, Belgique)
Exposer les spécificités de la réanimation cardiopulmonaire pédiatrique de base suivant les guidelines ERC 2020
Expliciter et démontrer les procédures pratiques et les précautions à respecter lors de la ventilation (bouche à bouche et bouche à bouche/nez) et du massage cardiaque chez le nourrisson et l’enfant
Mettre en œuvre les gestes sur mannequins
!! Il s’agit bien d’un atelier de réanimation pédiatrique de base !!
Salle 353
14:00

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AS39 B
14:00 - 15:30

Atelier Soignants
Réanimation cardiopulmonaire pédiatrique de base
Pédiatrie

Coordonnateur : Danièle VAN DER ROOST (Coordonnateur, La Louvière, Belgique)
Conférenciers : Andreas MOHLER (Medecin) (Conférencier, Bruxelles, Belgique), Elise THIELEMANS (Pédiatre) (Conférencier, Bruxelles, Belgique), Frédéric TITS (soignant) (Conférencier, Bruxelles, Belgique), Joachim WITTEMANS (infirmier) (Conférencier, Bruxelles, Belgique)
Exposer les spécificités de la réanimation cardiopulmonaire pédiatrique de base suivant les guidelines ERC 2020
Expliciter et démontrer les procédures pratiques et les précautions à respecter lors de la ventilation (bouche à bouche et bouche à bouche/nez) et du massage cardiaque chez le nourrisson et l’enfant
Mettre en œuvre les gestes sur mannequins
!! Il s’agit bien d’un atelier de réanimation pédiatrique de base !!
Salle 353

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AS40 A
14:00 - 15:30

Atelier Soignants & Ambulanciers SMUR
Atelier de conduite en situation d'urgence
Evaluation Services d'Urgences, Ambulanciers, Pédagogie - Enseignement - Formation

Coordonnateur : Marc BODSON (Coordonnateur, Trappes)
Conférenciers : Marc BODSON (Conférencier, Trappes), Didier GRANDIN (cadre logistique smur) (Conférencier, Trappes), Stephane GRESSIN (Conférencier, Trappes)
Prendre conscience des risques routiers et des prérogatives des véhicules d'urgence.
Moyen pédagogique : simulation de conduite
Stand 31 (Beltoise Evolution)
16:00

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CLS01
16:00 - 17:30

Communications Libres Soignants
U d'Or Soignants

Modérateurs : Aline CHENOU (IDE-EIPA) (Strasbourg), Nicolas TERMOZ MASSON (Infirmier) (Grenoble)
Coordonnateur : Nicolas TERMOZ MASSON (Coordonnateur, Grenoble)
16:00 - 17:30 #33016 - CP79 Pose d’une voie intra-osseuse dans l’arrêt cardiaque extra-hospitalier (ACEH) : les infirmiers en première ligne !!! Etude COAC-INF.
CP79 Pose d’une voie intra-osseuse dans l’arrêt cardiaque extra-hospitalier (ACEH) : les infirmiers en première ligne !!! Etude COAC-INF.

Introduction La voie intra-osseuse (VIO) est de plus en plus utilisée dans la réanimation de l’arrêt cardiaque extra-hospitalier (ACEH) (URGENCES 2016 & 2022). Ce geste - hors décret de compétence - n’est pas censé être réalisé par les infirmiers. Nous avons souhaité le quantifier. Méthodes Analyse ancillaire de l’étude COAC : prospective, observationnelle, multicentrique (8 SMUR) de Janvier à Novembre 2021. Inclusion : tout ACEH (> 18 ans) avec pose d’une voie veineuse périphérique (VVP) ou VIO. Exclusion : VV en place à l'arrivée du SMUR. Questionnaire : informations patient, critères d’Utstein, premier choix (VVP et VIO), opérateur, site, temps, succès et complications. Critères de jugement : (1) VV posée par infirmier et (2) taux de succès. Résultats 384 patients inclus, 262 (68%) hommes et 122 (32%) femmes, âge médian : 65 (55-75) ans. VVP en 1ère intention : 356 (93%) et VIO = 28 (7%). Opérateur : infirmier pour 348 (98%) VVP et 26 (93%) VIO (Figure). Succès à 1ère tentative (par infirmier) : 96% (N=25) pour VIO et 69% (N=246) pour VVP. Succès final (toutes tentatives confondues) (par infirmier) : 100% (N=26) pour VIO et 88% (N=291) pour VVP. VIO en tibial proximal : 20 (71%) cas, huméral : 6 (22%) cas et ailleurs : 2 (7%) cas. Conclusion La VIO était posée par les infirmiers dans 93% des cas avec un taux de succès très élevé (96%). La ‘règlementation’ devra évoluer en conséquence. Le site tibial était préféré (71%). La formation devra réorienter la pratique vers le site huméral.
Isabelle SCHILTZ (Paris), Hélène DUHEM, Clotilde CAZENAVE, Jean-Baptiste DEBRETAGNE, Adrien GOLDSTEIN, Céline OCCELI, Ahmed SOUAYAH, Frédéric LAPOSTOLLE
16:00 - 17:30 #33101 - CP80 Evaluation de l’impact de la tension hospitalière sur le tri à l’accueil des urgences : ParamedTRI.
CP80 Evaluation de l’impact de la tension hospitalière sur le tri à l’accueil des urgences : ParamedTRI.

Introduction : La fréquentation aux urgences est en constante augmentation. Le triage des patients est donc devenu indispensable. Sa qualité peut être affectée par l’inadéquation entre les moyens et le flux des patients ou les besoins immédiats d’hospitalisations. Ces épisodes de tension traduisent des difficultés de gestion des flux. Notre étude vise à mesurer l'effet de la tension hospitalière sur la corrélation entre le tri FRENCH et l’hospitalisation. Matériel et Méthode : Une étude observationnelle prospective multicentrique (9 centres) a été réalisée sur 15 jours en janvier 2022. Les patients majeurs se présentant aux urgences et évalués par l’infirmier d’organisateur de l’accueil ont été inclus. Le score de tension hospitalière (HET) journalier a été recueilli pour chaque centre. Trois situations de tension ont été analysées : (1) en volume (passages adultes et > 75 ans dépassant le seuil vert), (2) en durée de passage (durée de passage et nombre de patients présent à 15h dépassant le seuil vert) et (3) score de tension global (≥ 2). L'hospitalisation a été modélisée par une régression logistique par critère de tension ajustée sur le tri et le critère. Un terme d’interaction est testé et conservé selon l’AIC. Résultats : 14 506 passages ont été inclus dont 13 777 (95%) complets pour l’orientation et le tri. Le tri est fortement corrélé avec l‘hospitalisation. Respectivement du tri 5 à 1, les taux d’hospitalisation sont : 4,4% (33/743), 10,3% (548/5297), 41,3% (2634/6376), 61,7% (776/1257) et 72,1% (75/104). Le terme d’interaction a été conservé uniquement pour la régression sur le critère 2. L’hospitalisation était significativement plus basse en situation de tension pour les critères 1 et 3 (p < 0.001). Pour le critère 2, l’hospitalisation était non significativement différente pour les tris 1 et 2 et significativement plus faible pour les tris 3 (p < 0.001), 4 (p < 0.001) et 5 (p = 0.01). Discussion : Une hospitalisation plus faible en période de tension est observée quel que soit le critère de tension. Cette différence peut s’expliquer par un manque de lits d’aval et/ou un profil de patients différent. Même en période de tension les établissements étudiés gardent une concordance entre le tri et les taux d’hospitalisation. Conclusion : Notre étude montre que même si globalement le taux d’hospitalisation est inférieur en période de tension, le tri infirmier reste efficient.
Mylène MASSON (Lyon), Clément CLAUSTRE, Julie FREYSSENGE, Jonas COURTOIS, Carlos EL KHOURY, Patrice SERRE, Paramédicale GROUPE
16:00 - 17:30 #33326 - CP81 Le tri IAO des urgences ophtalmologiques : création et évaluation d’un nouveau questionnaire.
CP81 Le tri IAO des urgences ophtalmologiques : création et évaluation d’un nouveau questionnaire.

Introduction : Le tri IAO des urgences ophtalmologiques est particulièrement difficile, notamment car symptomatologie et gravité de la pathologie ne sont que peu reliées. Nous avons donc créé et évalué un outil de tri spécifique à l’ophtalmologie sous forme de QCM. Matériel et méthode : Le questionnaire comporte 29 questions et détermine le degré d’urgence à l’IOA : urgence différable (vert), urgence relative (orange), urgence réelle (rouge). Nous avons réalisé une évaluation rétrospective monocentrique de cet outil de Novembre 2020 à Janvier 2021 portant sur 572 questionnaires remplis par l’IOA. Le degré d’urgence à l’IOA est comparé à celui défini par l’ophtalmologue évaluateur après le diagnostic selon la classification consensuelle BaSe SCOrE : 1 et 2 en vert, 3 en orange, 4 et 5 en rouge. Résultats : Dans 47% des cas, le degré d’urgence établi à l’IOA était en adéquation avec le degré d’urgence établi à posteriori. 43% des orientations sont surestimées et 9% sont sous-estimées. Le coefficient de corrélation pondéré kappa a été mesuré à 0,18 (IC95% [0,1215 ; 0,2441]) L’orientation n’influe pas significativement sur le délai d’attente malgré une tendance à un délai réduit pour une orientation plus grave. Discussion : Le taux de corrélation kappa retrouvé indique que le questionnaire n’est pas en mesure d’orienter parfaitement les patients. On retrouve une tendance à la surestimation de l’urgence, sans effet néfaste sur la prise en charge du patient, et qui n’impacte pas le flux des patients graves compte-tenu du faible nombre d’orientations rouges. Quant à la sous-estimation, 51% (soit 22 cas) des urgences réelles ont été classés orange à l’IOA. L’orientation rouge étant rare, les classés orange passent en priorité, réduisant l’impact de cette sous-estimation. En revanche, 14% (soit 6 cas) des urgences réelles et 27% (soit 25 cas) des urgences relatives ont été classés vert. Nous avons identifié trois principaux facteurs de sous-estimation : une symptomatologie différente de celle attendue, une minimisation subjective de la BAV par le patient lui-même, et un manque d’exhaustivité lors de la recherche des différents items, imputable à un biais d’information lié au mode de recueil du questionnaire. Conclusion : Notre étude, comme les autres études sur ce sujet, montre la difficulté d’établir un tri IOA pour les urgences ophtalmologiques. Cependant ce questionnaire perfectible constitue une avancée dans l’optimisation de la prise en charge des urgences ophtalmologiques.
Sébastien CAPELLAN (Montpellier), Richard BRÉMONT, Vincent DAÏEN, Max VILLAIN, Marie Laure VABRE, Xavier BOBBIA, Jean-Francois VIGNEAU
16:00 - 17:30 #32866 - CP82 Outils de stratification pour l’identification par l’infirmier en pratique avancée des patients présentant une douleur thoracique à faible risque ischémique aux urgences : une revue parapluie.
CP82 Outils de stratification pour l’identification par l’infirmier en pratique avancée des patients présentant une douleur thoracique à faible risque ischémique aux urgences : une revue parapluie.

Introduction : La douleur thoracique est un motif de recours fréquent dans les services d’urgence pour lequel l’Infirmier en Pratique Avancée (IPA) interviendra sous la conduite diagnostique du médecin dans le but d’améliorer la qualité du parcours de soin des patients. L’objectif de cette revue de littérature est d’examiner l’état des connaissances sur les outils de stratification du risque ischémique permettant d’orienter en toute sécurité les patients atteints d’une douleur thoracique à faible risque vers un congé rapide et sécuritaire. Matériel et méthode : Pour cette « umbrella review » nous avons recherché dans Pubmed®, Cochrane Library® et Embase® les revues systématiques correspondant aux critères d’inclusion. Les articles ont suivi un processus de sélection ainsi qu’une évaluation de leur qualité méthodologique et de leur niveau de preuve selon les recommandations du « JBI Manual for Evidence Synthesis ». Le calcul du “corrected covered area” a été utilisé pour analyser le degré de chevauchement entre les études. Enfin, les données probantes de huit revues systématiques ont été extraites grâce à un outil standardisé. Résultats : Le score HEART faible risque avec utilisation de troponine hs-cTn a permis de décharger un peu plus d’un tiers des patients avec un taux d’évènement majeur indésirable cardiaque (MACE) inférieur à 1% (0,8%). Cet outil obtient également une sensibilité performante (97%) et supérieure pour les composantes de mortalité et d’infarctus du myocarde. Enfin, sa Valeur Prédictive Négative (VPN) à 0,99 en fait un outil idéal pour l’exclusion d’un MACE dans la population étudiée. Discussion : Les compétences en recherche, analyse et production de données probantes de l’IPA pourraient être utilisées afin de comparer dans une étude contrôlée randomisée les soins habituels à l’efficacité d’un outil incluant les résultats du score HEART pour une décision partagée entre le professionnel de santé et le patient à faible risque ischémique aux urgences. De plus, une étude qualitative décrivant les évènements indésirables définis comme important par les patients consultants pour douleur thoracique permettrait de centrer les résultats de l’intervention IPA sur la personne soignée. Conclusion : Cette synthèse met en avant la sécurité et la précision diagnostique du score HEART faible risque avec dosage de Troponine hs-cTn, son utilisation par l’IPA urgences permettrait une décharge rapide des patients à faible risque.
Nadia TIBERTI (Aix-en-Provence)
16:00 - 17:30 #33324 - CP83 Prise en charge du psychotraumatisme individuel en SMUR.
CP83 Prise en charge du psychotraumatisme individuel en SMUR.

Introduction Selon le DSM 5, la confrontation à la mort, la menace de mort, la blessure grave ou la violence sexuelle sont des critères de psychotraumatisme (PT). Le PT représenterait 4,6% de la population française. La prise en compte du PT en préhospitalier est organisée par les SAMU, via les CUMP départementales, pour un groupe de victimes. Qu’en est-il pour une victime ou un témoin isolé ? A l'échelle individuelle, la prise en charge est moins codifiée. L’absence d'indication ou de modalité de recours, le défaut de reconnaissance et d’orientation créent des conditions de prise en charge non optimales. Nous avons évalué les pratiques en cours des SMUR d’un GHT afin d’identifier le niveau de prise en charge du PT. Matériel et méthode Etude rétrospective observationnelle des dossiers SMUR 2021 et du service de consultation en victimologie du GHT. Questionnaire aux personnels médicaux et paramédicaux des SMUR du GHT portant sur l’évaluation de leur pratique et leur satisfaction de leur prise en charge. Résultats Sur plus de 4000 interventions, 165 dossiers ont été retenus selon des critères usuels de PT. La victime survivante est concernée dans 70% des dossiers, le témoin dans 30%. Il n’existe pas encore dans ce GHT de registre des PT individuels. On retrouve seulement 7 signalements qui leur sont parvenus. Notre enquête recueille un taux de réponse de 56% (n=110). Près de 71% des personnels ont déjà initié une prise en charge de PT, pour la famille et les témoins (89%), pour les intervenants (24%), la victime (21%) et un membre de l’équipe (10%). Le ressenti est la principale source d’indication au signalement du PT dans 63% des cas. Les modes opératoires sont divers mais non protocolés. Parmi le personnel répondant, 50% ne sont pas satisfaits de leur prise en charge du PT. Les raisons identifiées sont : l’absence de suivi du signalement (80%), le manque de temps sur intervention (50%), l’absence de procédure, d’identification des personnes ressources (10%) et l’absence de formation (10%). Conclusion Le sujet du psycho-traumatisme en préhospitalier est fréquent et intéresse ses intervenants. L’identification ainsi que la filiarisation de la prise en charge sont primordiales pour le suivi des patients. La victime est souvent oubliée. La formation des agents mais aussi le retour d’information et le débriefing d’équipe semblent indispensables. La création d’un registre au niveau du GHT et une étude de plus grande ampleur semblent nécessaires.
Luc VINCENT (Metz-Tessy)
16:00 - 17:30 #33420 - CP84 L'intelligence émotionnelle et sa relation avec la performance au travail.
CP84 L'intelligence émotionnelle et sa relation avec la performance au travail.

Introduction : Dans les services des urgences, les personnels de la santé rencontrent divers situations et événements traumatisants qui affectent leur vie personnelle et professionnelle. C´est pour cela, chaque urgentiste doit développer son niveau d´intelligence émotionnelle (IE) pour pouvoir faire face a ces événements traumatisants et afin d´avoir une meilleure performance au travail. Matériels et méthodes : Il s´agit d´une étude quantitative descriptive corrélationnelle menée sur 78 personnels de la santé des urgences de. Le niveau d´IE a été calculé a travers le test d´auto-évaluation de l´IE (SSEIT) et la performance a été calculée en utilisant le test individuel de la performance au travail (IWPQ). Résultats : La population de notre étude était à prédominance féminine (70,8%) avec l’âge moyen 32,1±5,6. La majorité de la population était constituée des infirmiers (55,4%). Le score total de l´IE dans cette étude était (114,43±25,33). Les analyses ont révélés que l´IE était positivement corrélée à la performance au travail (r=0,628 ; p<0,001). Discussion : L’IE était positivement corrélé à la performance au travail (r= 0.628 ; P<0.001) indiquant que la performance au travail augmentait avec un meilleur score IE. Conclusion : L´intelligence émotionnelle est une capacité à développer chez tous personnels de la santé travaillant aux urgences. D´ailleurs des formations doivent être offert aux urgentistes afin d´éviter tous ce qui peut affecter leur bien-être et leur performance.
Sawsen JOMÂA (sousse, Tunisie), Rym YOUSSEF, Rahma JABALLAH, Houda BEN SALAH, Lotfi BOUKADIDA, Asma ZORGATI, Riadh BOUKEF
Salle 252A
Jeudi 08 juin
08:45

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CS01
08:45 - 10:15

Conférence Soignants
Les voies, d'abord !
Aide Soignant, Ambulanciers, Infirmier, Médecin, Ultrasonographie - Echographie

Modérateurs : Karinne LE GLOAN (IDE SAMU 44) (Nantes), Clément ROUXEL (Ide) (Dijon)
Coordonnateur : Karinne LE GLOAN (Coordonnateur, Nantes)
La voie d'abord est au cœur de la prise en charge des patients dans les soins d'urgences. Toutefois l'acte peut se révéler difficile dans certain cas.
Quelles solutions pouvons nous avoir pour le patient?
08:45 - 10:15 Voies Veineuses Périphériques (VVP) par dispositif de transillumination. Catherine STASZEWSKI (Infirmière) (Conférencier, Pont à Mousson)
08:45 - 10:15 VVP sous echoguidage. Olivier PICOT (IDE) (Conférencier, Paris)
08:45 - 10:15 Alternatives suite echec pose VVP : KTIO, KTC ... Julie MILLE (IDE) (Conférencier, Rodez)
Salle 342A

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AS36
08:45 - 10:15

Atelier Soignants
Triage des enfants dans un SAU enfants/adultes
Triage

Coordonnateur : Danièle VAN DER ROOST (Coordonnateur, La Louvière, Belgique)
Conférenciers : Ludivine NELISSEN (soignant ic urgences) (Conférencier, La Louvière, Belgique), Danièle VAN DER ROOST (IDE puer SISU) (Conférencier, La Louvière, Belgique)
Présentation des spécificités pédiatriques et, à travers plusieurs cas cliniques spécifiques, appréhension des difficultés pratiques rencontrées dans l’utilisation des 4 échelles suivantes validées : ETGP canadienne, ICTS pédiatrique Irlandaise (Manchester adaptée aux enfants), Emergency Severity Index américaine et New French. L’utilisation de cas cliniques permet l’identification des critères de gravité spécifiques aux enfants et l’attribution d’une catégorie de gravité dans chaque échelle présentée. Nous proposons une comparaison et une discussion des résultats dans les différents scores pour chaque cas clinique, avec travail de groupe supervisé directement par les intervenants.
Salle 352A
11:00

"Jeudi 08 juin"

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SIS02
11:00 - 12:00

Session Interactive
Quiz : les pièges du tri.

Modérateur : Emeline DELON (infirmière) (Nîmes)
Coordonnateur : Olivier PICOT (Coordonnateur, Paris)
Conférencier : Olivier PICOT (IDE) (Conférencier, Paris)
Salle 243

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CLS02
11:00 - 12:30

Communications Libres Soignants

Modérateurs : Marc Antoine BARON (IDE) (Avranches), Florence BONNET (Cadre supérieure de santé) (Blois)
Coordonnateur : Nicolas TERMOZ MASSON (Coordonnateur, Grenoble)
11:00 - 12:30 #33266 - CP85 Dépistage systématique du SARS-CoV-2 dans 18 services d'urgences : l'essai randomisé en cluster et cross-over en deux périodes DEPIST-COVID.
CP85 Dépistage systématique du SARS-CoV-2 dans 18 services d'urgences : l'essai randomisé en cluster et cross-over en deux périodes DEPIST-COVID.

INTRODUCTION : Les infections asymptomatiques/paucisymptomatiques sont responsables d'une part des transmissions du SARS-CoV-2. Dans les services d'urgences (SU), les patients symptomatiques ou hospitalisés sont dépistés en pratique habituelle (PH). Un dépistage systématique pourrait permettre de détecter des infections non connues. L'objectif de l'étude était d'évaluer le gain d’un dépistage infirmier systématique pour les patients asymptomatiques/paucisymptomatiques associé à la PH, vs PH seule. MÉTHODE : Un essai multicentrique, randomisé en cluster, cross-over en 2 périodes a été réalisé en 2021. Les adultes consultant dans un des 18 SU d’Ile-de-France participant étaient éligibles. Pendant la période intervention, en complément de la PH, les patients étaient invités à remplir un questionnaire. Les infirmiers proposaient un test aux patients asymptomatiques/paucisymptomatiques. Le critère d’évaluation principal était la proportion de patients nouvellement diagnostiqués SARS-CoV-2+ parmi tous les consultants. Les critères secondaires étaient la proportion de nouveaux diagnostics à la suite du dépistage infirmier systématique vs proportion de tests positifs parmi les adultes asymptomatiques de la région, et comparaison avec les résultats d’un modèle mathématique stratifié par âge. RÉSULTATS : Au total, 69 248 et 69 104 patients ont été inclus respectivement pendant les périodes intervention et contrôle. Le questionnaire a été proposé à 6 428 patients, dont 4 283 ont été testés par les infirmiers, résultant en 224 nouveaux diagnostics. Combiné à la PH, un total de 1 859 patients ont été diagnostiqués pendant la période intervention. Pendant la période contrôle, 2 084 patients ont été diagnostiqués. A l'analyse ajustée, 26,7/1 000 patients et 26,2/1 000 patients ont été diagnostiqués respectivement pendant les périodes intervention et contrôle (RR: 1,02, IC95%: 0,94; 1,11). La proportion de nouveaux diagnostics suite au dépistage infirmier systématique était plus élevée que celle des tests positifs dans la région (5,2% et 4,6%, différence de risque: 0,6%, IC95%: 0,01%; 1,3%). Le taux d'incidence régional chez les adultes asymptomatiques/paucisymptomatiques estimé par le modèle mathématique est de 4,1% (intervalle de probabilité 95%: 2,5%; 5,7%). DISCUSSION, CONCLUSION : Les résultats sont en faveur de l’absence d’effet ou d’un effet faible de l'ajout d'un dépistage systématique. D’autres évaluations sont nécessaires dans la population des SU qui parait plus touchée.
Judith LEBLANC (Paris), Lisbeth DUSSERRE-TELMON, Anthony CHAUVIN, Tabassome SIMON, Carole JEGOU, Hélène ROLAND, Jérome LEGOFF, Anne-Claude CREMIEUX
11:00 - 12:30 #33241 - CP86 Comparaison de deux techniques, mains superposées versus mains entrecroisées par les soignants, sur la qualité des compressions thoraciques : l'étude HP2C un essai randomisé en cross-over.
CP86 Comparaison de deux techniques, mains superposées versus mains entrecroisées par les soignants, sur la qualité des compressions thoraciques : l'étude HP2C un essai randomisé en cross-over.

Introduction : L’arrêt cardio-respiratoire est une urgence absolue. La réalisation de compressions thoraciques (CT) est fondamentale. Cette étude pilote a pour objectif de comparer ces deux méthodes de CT dans leurs efficacités globales et d’évaluer la fatigue du soignant. Méthodes : Il s’agissait d’une étude monocentrique, randomisée en cross-over incluant les soignants volontaires. Ils étaient randomisés pour débuter soit les CT avec mains superposées ou mains croisée puis après une période de wash-out réalisaient l’autre technique. Les critères de jugement étaient le score global de réussite des CT généré par un logiciel en accord avec les recommandations ILCOR, la qualité de l’enfoncement, du relâchement, la fréquence et l’intensité subjective avec échelle de borg. Résultats : Au total, 100 participants ont été inclus pilote(fig1). L'âge moyen des secouristes était de 38 ±9,3 ans. Le score médian de RCP était de 79,5 % IQR [48,5 - 94,0] dans le groupe des mains superposées est de 71 % IQR [38,0-92,8] dans le groupe des mains qui se croisent (valeur p = 0,37). Il n’y avait pas de différence significative pour les autres critères cependant on note une tendance à des résultats meilleurs avec les mains superposées. Conclusion : Cette étude ne permet pas de montrer de différence entre la performance des CT via des mains superposées versus entrecroisées. Cependant, une tendance se dégage en faveur des mains superposées qui devra être confirmé par une étude de plus grande ampleur.
Aurélien MARQUIS (Angers), Delphine DOUILLET, Francois MORIN, Damien CHAUVAT, Aurélien SECHET, Hélène LACOUR, Laurent POIROUX, Dominique SAVARY
11:00 - 12:30 #33087 - CP87 Evaluation de l’impact du bruit sur les conditions de travail du personnel des urgences.
CP87 Evaluation de l’impact du bruit sur les conditions de travail du personnel des urgences.

Introduction : Le bruit est omniprésent aux urgences et les nuisances qu’il génère sur les professionnels peuvent être majeures et venir altérer les conditions de travail de ces derniers. Nous avons donc souhaité évaluer les différentes sources de bruit au travail et leur impact sur les conditions de travail aux urgences. Matériel et méthode : Nous avons mené une enquête monocentrique au sein d’un service d’urgence (SU) d’un centre hospitalier universitaire du 30/10/22 au 20/11/22. Un questionnaire anonyme comportant des questions semi-fermées et des échelles d’évaluation de Likert de 0 à 10 a été adressé aux médecins, infirmiers (IDE), aides-soignants (ASD), agents de service hospitaliers (ASH) ainsi qu’aux personnels du bureau des entrées. Résultats : Nous avons obtenu un taux de réponse de 59% des personnes sollicitées. Parmi eux : 44% d’IDE, 34 % d’ASD, 17 % de médecins. Le ratio F/H est de 3.5 avec une moyenne d’âge de 38.9 +/- 9.7 ans et exerçant dans ce service d’urgence depuis en moyenne 8.2 +/- 7.5 ans. Les professionnels évaluent en moyenne leur gène par le bruit à 7+/-1.8. Les sources de bruit les plus dérangeantes étaient : les cris et voix des patients (4.8 +/- 2.5), le téléphone (4.4 +/- 2.7), les alarmes de scope (4.4 +/- 2.4) et les voix des collègues (4.3 +/- 2.5). Ces bruits ont été identifiés à l’accueil des urgences (84%), dans le bureau des soignants (48%) et dans le couloir (41%). La gêne était omniprésente de jour comme de nuit avec une tendance à être plus élevée en journée et fin de poste. Les principaux impacts du bruit sur les professionnels étaient : une diminution de la concentration (73 %), une irritabilité (69 %), une augmentation de la fatigue (48 %), des maux de tête (47 %) et une augmentation du stress (34 %). Enfin, l’impact global du bruit sur l’efficacité au travail des professionnels a été évalué à 5.9 +/- 2.2. Conclusion : Les sources de bruit aux urgences sont nombreuses et variées. Leur cumul peut devenir très dérangeant pour les professionnels. Dans le cadre de l’amélioration des conditions de travail, il serait intéressant de mettre en place des actions visant à prévenir ces bruits vécus comme des nuisances sonores comme l’aménagement des locaux et l'accueil des patients.
Cindy HERNANDEZ (Lyon), Sophie BRONDEX, Sabine PERRET, Sophie VESCO, Julien DURAND, Sebastien BEROUD, Serieys LAETITIA, Marion DOUPLAT
11:00 - 12:30 #33163 - CP88 Impact de la mise en place d’un protocole douleur aux urgences au niveau de l’infirmière organisatrice de l’accueil (IOA).
CP88 Impact de la mise en place d’un protocole douleur aux urgences au niveau de l’infirmière organisatrice de l’accueil (IOA).

Introduction : Notre structure d’urgence (SU) a connu une augmentation d’activité de 25% entre 2020 et 2021, conduisant à l’allongement des délais de prise en charge de la douleur. Nous avons mis en place en juin 2021 un protocole de prise en charge de la douleur basé sur une délégation d’administration des antalgiques à l’IOA et une formation spécifique : paracétamol et retour en salle d’attente si évaluation numérique (EN) <4, morphine buvable (oramorph) et retour en salle d’attente si EN 4 à 6, oramorph et installation immédiate si EN ≥ 7. Nous avons comparé à la période de janvier à juin 2021 (S1), l’impact du protocole entre juillet et décembre 2021 (S2), puis janvier et juin 2022 (S3), sur le pourcentage de malades évalués pour leur douleur. Résultats : En S1, nous avons enregistré 19 736 (68.70%) EN parmi 28 724 passages, en S2 25 144 (70,91%) parmi 35 462 passages et en S3 26 237 (74.17%) parmi 35 374 passages (p <0.01). EN 0 = 17.91%, EN < 3 = 20.16%, EN 4-6 = 33.16% et EN ≥ 7 = 28.77%, stable dans le temps. Selon le motif de recours, 94.40% des douleurs thoraciques (58.17% de réévaluation), 92.97% des douleurs abdominales (73.50% de réévaluation), 91.32% de la traumatologie (7.90% de réévaluation) ont été évalués. Ces trois motifs constituent 26% des passages aux urgences. Quand il y a eu réévaluation de la douleur, le délai entre la première et la deuxième EN était de 139 [92 ;198] min avant protocole (S1) et de 148 [93 ;208] après (S2+S3) (p<0.001). La consommation de morphine intraveineuse (IV) a diminué de 150 mg/1000 passages en S1 à 140 mg/1000 passages en S3, en faveur de l’oramorph passée de 0 à 530 mg/1000 passages. Discussion : La réévaluation de la douleur est en partie conditionnée par la durée de séjour aux urgences, dans notre SU la traumatologie bénéficie d’une filière dédiée avec des délais raccourcis (83 [562 ;132] min pour la traumatologie, 201.5 [139 ;306] min pour la douleur thoracique, 210 [135 ;306] min pour la douleur abdominale). Le nombre de réévaluations par patient diminue et le délai entre deux évaluations s’allonge quand le nombre de passage quotidiens augmente. L’administration de morphine oral par l’IOA a réduit la prescription de morphine IV pendant le séjour aux urgences. Conclusion : La mise en place d’un protocole douleur et la formation des IOA a entraîné une augmentation significative du nombre de patients traités, une prise en charge plus rapide de la douleur et un moindre recours à la morphine IV.
Yannis KHENNOUF, Laetitia PARADISI, Alexis MARTY (Villeurbanne), Lucie CARREAU, Guillaume TRAPEAU, Sixtine DENONFOUX, François CAREMELLE, Carlos EL KHOURY
11:00 - 12:30 #33232 - CP89 La présence d’un accompagnant a-t-elle une influence sur l’entretien d’accueil paramédical en IOA ?
CP89 La présence d’un accompagnant a-t-elle une influence sur l’entretien d’accueil paramédical en IOA ?

Introduction : Lors de l’entretien d’accueil paramédical, dans notre service d’urgence adulte, de nombreux patients sont accompagnés. Il existe des études sur la présence de l’accompagnant aux urgences ou dans les soins, notamment celle de 2019 dans Emergency nurse mais aucune n’a été publiée sur l’impact de l’accompagnant lors de l’entretien d’accueil. Les avis étant divergents dans notre service, nous avons voulu réaliser une enquête. Matériel et Méthode : Nous avons souhaité faire une étude prospective et monocentrique à notre établissement sous forme de trois questionnaires, pour l’équipe paramédicale, les patients et les accompagnants. Ces questionnaires étaient proposés dès l’entretien d’accueil sous forme de QR code et sous format papier aux patients volontaires et correspondants aux critères d’inclusion. Cette enquête a eu lieu pendant le mois de septembre 2022. Résultats : L’échantillon était de 98 patients, 95 accompagnants et 39 soignants. Lors de l’entretien d’accueil paramédical, 62.2% des patients étaient accompagnés. Pour les différents acteurs, la présence d’un accompagnant est nécessaire. Les soignants souhaitent donner plus de responsabilités aux accompagnants, qui eux se sentent capables d’avertir sur l'évolution de santé de leur proche à 94.8%. L’attente est mieux tolérée et les informations plus complètes lors de leur présence pour 74%. Pour les soignants, l’accompagnant n'est pas considéré comme une source d’anxiété mais n’évite pas les interruptions de tâches. Certaines limites ont été retrouvées, pour les accompagnants et les patients comme les situations d'urgence et les gestes d'intimité, alors que pour les soignants, s'ajoutent les violences conjugales, les accompagnants anxieux, les personnes relevant de la psychiatrie et le refus des patients. Discussion : Nous sommes conscient de la faible représentativité de nos échantillons en lien avec le nombre de passages totale et de notre effectif. Un deuxième mois d’enquête est justement prévu pour confirmer ou non les tendances. Conclusion : La présence des accompagnants en IAO permet une meilleure prise en charge des patients dans différents domaines : la transmission d'informations complémentaires, la tolérance des temps d'attente, des informations sur le rôle du triage et la surveillance des proches. Notre enquête montre qu'il existe certaines limites à l'accompagnement des proches dans différentes situations mais n'entrave pas la liberté d'expression des patients.
Julie TROCHET, Joyce TETU (PARIS), Gregory CONAN, Léa SERVENT
11:00 - 12:30 #33088 - CP90 Etats des lieux des missions des aides-soignants dans les services d’urgences.
CP90 Etats des lieux des missions des aides-soignants dans les services d’urgences.

INTRODUCTION Les urgences sont un service à part entière de l'hôpital avec un fonctionnement différent des autres spécialités. Malgré une formation identique, la prise en charge et les actions demandées aux aides-soignants (ASD) requièrent des compétences spécifiques à ce service. L’objectif de notre étude était de faire un état des lieux des missions des ASD dans les services d’urgences. MATERIEL ET METHODE: Nous avons mené une étude observationnelle auprès des services d’urgence de Rhône Alpes dans des établissements publics, des centres hospitalo-universitaires, des centres privés d'intérêt collectif. Un questionnaire anonyme a été envoyé aux cadres de santé de ses établissements, avec des questions fermées, à choix multiples et ouvertes. RÉSULTATS: Sur les 24 établissement interrogés nous avons eu un retour de 17 cadres soit 71% de participation. Tous les services ont des ASD de jour et de nuit. Les missions des ASD sont: prises des paramètres vitaux (94%), aide aux soins avec l’IDE (94%), actes hôtelier (boisson, plateaux repas) (94%), soins de nursing (88%), brancardage (76%), accueil des patient (35%), et gestion du matériel (stock des réserves, commandes, maintenance) (35%). Certains ont des profils particuliers comme ASD technique (24%), ambulancier en structure mobile d’urgence et de réanimation (12%), gypsothérapeuthe et agent administratif (6%). L’ASD travaille dans 68% des cas comme binôme avec l'infirmier, 15% avec les autres ASD et 8.5 % avec les médecins et les agents de services hospitaliers. La totalité des cadres ont rapporté que la présence des ASD est une plus-value aux urgences. Ils rapportent à 94% que la présence des ASD est nécessaire aux urgences mais que ce poste est mal défini au niveau national. DISCUSSION: D’après les résultats, nous pouvons observer la diversité des missions selon les différents services d’urgences. L’ASD est un allié essentiel du service d’urgences. En plus de son rôle propre auprès du patient (nursing, surveillance hémodynamique, hôtellerie), il permet une prise en charge holistique, aide précieuse dans l’initiation des premiers soins selon son décret de compétence. CONCLUSION: La formation des ASD pour travailler dans un service d’urgences n’est que légèrement abordée voire inexistante dans leur cursus. Certaines spécialités et institutions proposent des formations adaptées à leur service. Ne serait-il pas nécessaire de créer une formation nationale propre aux urgences afin d’unifier les compétences?
Sabine PERRET (Pierre-Bénite), Lucile NEYRAND, Aude PAGLIARIN, Sophie BRONDEX, Sebastien BEROUD, Sophie VESCO, Julien DURAND, Marion DOUPLAT
11:00 - 12:30 #33185 - CP91 Le vécu des soignants face à la mort à domicile en médecine préhospitalière: enjeux et dilemmes éthiques.
CP91 Le vécu des soignants face à la mort à domicile en médecine préhospitalière: enjeux et dilemmes éthiques.

Introduction : Sur 10 ans, environ 129 446 arrêts cardio-respiratoire (ACR) nationaux ont été pris en charge (PEC) par une Structure Mobile d’Urgence et de Réanimation (SMUR). Soixante-quatorze pourcents des ACR adultes ont eu lieu à domicile. Les équipes SMUR sont quotidiennement face à la mort sans esquive possible de par la singularité du cadre du «hors hôpital». Ces PEC SMUR posent des questions éthiques et personnelles car les soignants laissent le corps du défunt à domicile. En 2013, le vécu des soignants non médicaux face à un décès en SMUR fut évalué. Une majorité exprima des difficultés : la violence des situations, un manque de temps et un besoin de formation. En 2022, un second état des lieux sur le même sujet a été fait en incluant un aspect éthique et les médecins. Matériel et méthode : Une étude qualitative par 2 questionnaires: médecins, infirmiers/ambulanciers SMUR, prospective, mono-centrique fut créée. Résultats : Trente-trois médecins et 31 soignants non médicaux ont répondu. Dans 80% des cas, les limites de la réanimation sont acceptées (n=51). L’annonce génère une sensation de mal-être et de détachement de la situation pour les médecins dans 18.2 % des cas (n=06). La préparation et l’apparence du corps du défunt sont jugées comme un soin à part entière dans 84% des cas (n=54). La présentation du corps à la famille est capitale dans 45.3% des cas (n=29). Elle est proposée systématiquement dans 54.7% des cas (n=35) vs 12.5% des cas où elle est rare (n=08). La spiritualité est importante dans 59.4% des cas (n=38). Pour 70.3% des cas, les principaux rites religieux sont obscurs (n=45). Les facteurs impactant le vécu sont un manque de temps dans 46.9% des cas (n=30), une fatigue professionnelle, personnelle dans 36% des cas (n=23) et un climat hostile dans 17.2% des cas (n=11). Cela mène à une fuite des lieux, une agressivité verbale ou non verbale. Discussion : Les soignants font toujours face aux mêmes difficultés. Elles s’accentuent depuis 10 ans. Le sujet est majeur. Les dilemmes sont un détachement de la situation vécue, une sensation de mal-être et /ou d’échec lors de la gestion de la mort en SMUR. Les principes éthiques comme ceux de l’autonomie, de bienfaisance et de non malfaisance envers le défunt, les proches et les confrères sont mis à mal. Conclusion : La PEC de la mort en SMUR reste un sujet difficile. En piste d’amélioration, il pourrait être proposé: une formation spécifique à la situation et à l’éthique dans les soins.
Delphine HUGENSCHMITT, Pierre LE COZ, Karim TAZAROURTE, Marion DOUPLAT (Lyon)
11:00 - 12:30 #33038 - CP92 Evaluation d’un nouveau métier d’assistants de soins aux urgences.
CP92 Evaluation d’un nouveau métier d’assistants de soins aux urgences.

Introduction: L'hôpital connaît des difficultés dans le recrutement de son personnel paramédical impactant son fonctionnement. L’augmentation du nombre de patients en attente d’hospitalisation faute de lits a entraîné l’allongement des durées de séjour et l’apparition de tâches d'hôtellerie aux urgences. Nous avons fait le choix d’engager des Assistants de soins(ASS), à titre temporaire sur la période estivale 2022 provenant de filières étudiantes médicales ou paramédicales pour effectuer ces missions. Un profil de poste pour les ASS a été rédigé ou était précisé les tâches qu’ils devaient effectuer en soutien des aides-soignants (ASD) et des agents de service hospitaliers (ASH). L’objectif était d’évaluer la plus-value de ces assistants de soins par les ASD et les ASH. Méthode: Nous avons conduit une enquête monocentrique dans notre service d’urgence sur le mois de novembre 2022. Un questionnaire anonyme a été distribué à l’ensemble des ASD et ASH. Une échelle de Likert a été utilisée de 1 à 10 (de 1=pas du tout à 10=totalement). Résultat: Nous avons obtenu 29 réponses (71%) sur 41 personnels, 86% étaient des ASD et 14% des ASH. L'âge médian était de 42 ans +/-11,8, 76% étaient des femmes. Ils exercent aux urgences depuis 7.8 +/- 7.3 ans en moyenne. Les ASD et ASH ont été satisfait du nettoyage des brancards (7.7/10 +/-2.3) du nettoyage des boxs (7.5/10 +/-2.4), du nettoyage du service (7.3/10 +/-2.4), de l’évacuation du linge sale et des poubelles (7.2/10 +/-2.6), du réassort du matériel (5.7/10 +/-2.9), ainsi que les actes hôteliers 7/10 +/-2.5. Selon eux, le profil était bien défini avant l’arrivée des ASS ( 5/10 +/-2.5 ).Pour 9.5% des ASD, les ASS leur ont permis d’effectuer leur rôle propre qu’ils n’ont pas le temps de réaliser en temps normal. Pour 66.7% d’entre eux, ils ont pu apporter des soins de qualité aux patients. Cela leur a permis de pouvoir fonctionner en binôme avec l’infirmière de leur secteur pour 33.3%. Les ASH ont pu se consacrer aux brancardage à 100% et libérer les ASD de cette tâche. Les conditions de travail ont été améliorées pour les ASD et ASH (6.5/10 +/-2.6).Au final, 86% se disent favorables à la pérennisation du poste d’ASS dans le service. Conclusion: Dans le contexte de tension de lits et de manque de personnel soignant, le profil de poste d’ASS semble permettre de mieux pallier à ce mode dégradé et se pose la question de la pérennisation de ce nouveau métier.
Serieys LAETITIA (Lyon), Sabine PERRET, Sophie BRONDEX, Cindy HERNANDEZ, Guillaume DURAND, Sebastien BEROUD, Sophie VESCO, Marion DOUPLAT
Salle 252A
14:00

"Jeudi 08 juin"

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CS07
14:00 - 15:30

Conférence Soignants
La boite à outils : des outils qui ont du génie !
Qualité, Recherche

Modérateurs : Emeline DELON (infirmière) (Nîmes), Jonathan POISSONNIER (Ambulancier/ aide soignant) (Roubaix)
Coordonnateur : Karinne LE GLOAN (Coordonnateur, Nantes)
14:00 - 15:30 RENAU Livret du médicament. Alexandre STURMA (IDE) (Conférencier, contamines sur arves)
14:00 - 15:30 Elaboration d'un outil : du constat à sa conception : exemple de la chaise pour ponction lombaire. Marc Antoine BARON (IDE) (Conférencier, Avranches)
14:00 - 15:30 NOVIATRI : cartes sur table pour le triage des victimes. Julie HUMEAU (Médecin) (Conférencier, Nantes)
14:00 - 15:30 Fiche reflex SSE/NRBC BSPP. Louise GIAUME (Médecin urgentiste) (Conférencier, BSPP)
14:00 - 15:30 " Les gommettes de Grenoble ". Cédric FALCON (Cadre de santé) (Conférencier, Grenoble)
Salle 241

"Jeudi 08 juin"

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CS04
14:00 - 15:30

Conférence Soignants
Les autres métiers existants aux Urgences.
Assistante Sociale, Organisation Services d'Urgences, Psychologue

Modérateurs : Carla DE STEFANO (psychologue) (Paris), Merlin DESCOURS (Infirmier) (Toulon)
Coordonnateur : Merlin DESCOURS (Coordonnateur, Toulon)
Focus sur les autres "acteurs" de l'urgence qui contribuent egalement à la prise en charge du patient. Cette session a pour but de donner la parole aux metiers qui sont moins connus au sein de la medecine d'urgence et de comprendre leurs specificités. Quelle articulation dans un service d'urgences?
14:00 - 15:30 Médiatrice sociale de nuit aux Urgences Lariboisière. Alice DEWACHTER (Médiatrice sociale) (Conférencier, Paris)
14:00 - 15:30 Infirmière Gériatrique aux Urgences. Nathalie RINI (Infirmière de Gériatrie) (Conférencier, Toulon)
14:00 - 15:30 Psychologue aux Urgences. Anthony FAIVRE (psychologue clinicien) (Conférencier, Strasbourg)
14:00 - 15:30 Assistante sociale aux Urgences. Caroline VAREILLE (assistante sociale) (Conférencier, Paris)
Salle 242A

"Jeudi 08 juin"

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SIS03
14:00 - 15:00

Session Interactive
Quiz : les pièges de la pharmaco.

Modérateurs : Geoffrey GALOPIN (Infirmier) (Dijon), Clément ROUXEL (Ide) (Dijon)
Coordonnateur : Charlotte VERJUX (Coordonnateur, Paris)
Conférenciers : Lionel DEGOMME (IADE) (Conférencier, Paris), Aurélien LANDIÉ (IDE SMUR/REA/CESU) (Conférencier, Rodez)
Salle 243

"Jeudi 08 juin"

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AS37 A
14:00 - 15:30

Atelier Soignants
Conditionnement et déconditionnement du traumatisé grave
Traumatologie

Coordonnateur : Yann COEN (Coordonnateur, Brest)
Conférenciers : Christian CARIOU (IDE) (Conférencier, Brest), Jean-Baptiste MAGNIN (Ambulancier SMUR) (Conférencier, Brest)
Revoir le matériel et les techniques d'immobilisation qui sont utilisées tous les jours en SMUR et SAUV :
Collier cervical, civière cuillière, MID, ceinture pelvienne, attelle de traction (CT6), garrot tourniquet, plan dur (araignée),bloc tête (speedblock), attelle cervico-thoracique (ACT).
Apprendre aussi à marier le matériel d'immobilisation sur un patient déjà lourdement techniqué.
Salle 343

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AS40 B
14:00 - 15:30

Atelier Soignants & Ambulanciers SMUR
Atelier de conduite en situation d'urgence
Evaluation Services d'Urgences, Ambulanciers, Pédagogie - Enseignement - Formation

Coordonnateur : Marc BODSON (Coordonnateur, Trappes)
Conférenciers : Marc BODSON (Conférencier, Trappes), Didier GRANDIN (cadre logistique smur) (Conférencier, Trappes), Stephane GRESSIN (Conférencier, Trappes)
Prendre conscience des risques routiers et des prérogatives des véhicules d'urgence.
Moyen pédagogique : simulation de conduite
Stand 31 (Beltoise Evolution)
17:00

"Jeudi 08 juin"

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SIS01
17:00 - 18:00

Session Interactive
Quiz : les pièges de l'ECG.

Modérateur : Emeline DELON (infirmière) (Nîmes)
Coordonnateur : Sébastien BATRANCOURT (Coordonnateur, Paris)
Conférencier : Hélène DEHAUT (IDE) (Conférencier, Lille)
Salle 243
Vendredi 09 juin
09:15

"Vendredi 09 juin"

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SIS04
09:15 - 10:15

Session Interactive
Quiz : urgences neurologique.

Modérateur : Perrine BOURSIN (CESU75 formatrice IAO / ROTHSCHILD IPA Urg neurovasc, Coordinatrice Centre de recherche et formation) (Paris)
Coordonnateur : Charlotte VERJUX (Coordonnateur, Paris)
Conférencier : Marie-Hélène RODRIGUES DA CRUZ (IDE) (Conférencier, Saint Denis)
Salle 243
11:00

"Vendredi 09 juin"

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CS02
11:00 - 12:30

Conférence Soignants
Recherche paramédicale : les clefs de la réussite.
Infirmier, Recherche, Statistiques

Modérateurs : Aline CHENOU (IDE-EIPA) (Strasbourg), Judith LEBLANC (Maitre de conférences / Coordinatrice paramédicale recherche) (Paris)
Coordonnateur : Aline CHENOU (Coordonnateur, Strasbourg)
La recherche paramédicale en France commence à prendre son envol et il devient fondamental que de plus en plus d'acteurs paramédicaux s'inscrivent dans cette dynamique pour faire évoluer nos pratiques. Durant cette session, des pistes seront proposées pour poser les jalons d'une recherche réussie.
11:00 - 12:30 Les indispensables de la méthodologie. Carla DE STEFANO (psychologue) (Conférencier, Paris)
11:00 - 12:30 Le PHRIP : qu'est-ce que c'est ? Comment on fait ? Benoit CHALANCON (infirmier) (Conférencier, Lyon)
11:00 - 12:30 L'exemple d'une recherche réussie. Christelle HILAIRE (Chef de projet Scientifique) (Conférencier, ST DENIS)
Salle Maillot
14:00

"Vendredi 09 juin"

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CS05
14:00 - 15:30

Conférence Soignants
IPA Urgences : les premières promotions.
Organisation Services d'Urgences, Pédagogie - Enseignement - Formation

Modérateurs : Aline CHENOU (IDE-EIPA) (Strasbourg), Youri YORDANOV (Médecin) (Lyon)
Coordonnateur : Charlotte VERJUX (Coordonnateur, Paris)
Session visant à présenter le parcours pour mettre en place un IPA aux urgences, du parcours universitaire à l'intégration en tant qu'IPA dans un service d'urgence
14:00 - 15:30 Etre étudiant IPA U. Nadia TIBERTI (Infirmière en pratique avancée) (Conférencier, Aix-en-Provence)
14:00 - 15:30 Retour d'expérience d'un IPA en poste aux Urgences. Kevin VAN DEN BERGH (Infirmier en pratique avancée URGENCES) (Conférencier, Perpignan)
14:00 - 15:30 Intégrer un nouvel acteur du soin. Julie DEVICTOR (IPA) (Conférencier, Clichy)
Amphi Havane

"Vendredi 09 juin"

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TRS01
14:00 - 15:30

Table Ronde Soignants
Venir travailler aux Urgences et y rester. Oui, mais pourquoi ?
Aide Soignant, Infirmier, Management, Organisation Services d'Urgences

Modérateurs : Marc Antoine BARON (IDE) (Avranches), Aurélien LANDIÉ (IDE SMUR/REA/CESU) (Rodez)
Coordonnateur : Marc Antoine BARON (Coordonnateur, Avranches)
A l'heure où la pénurie de soignants gagne l'hôpital, la question se pose sur les moyens à mettre en œuvre pour accueillir et fidéliser les nouveaux agents et les agents en poste. Du compagnonnage au perspectives d'avenir, ce cycle de conférence vous donnera quelques clefs.
14:00 - 15:30 Enjeux du tutorat et compagnonnage. Eric GARCIA (IDE et Formateur) (Conférencier, Pau)
14:00 - 15:30 La dynamique d'équipe au cœur du développement des compétences. Maxime GAUTIER (Chef de service) (Conférencier, Eaubonne)
14:00 - 15:30 Pourquoi les Urgences ? Théophile BASTIDE (Cadre supérieur de santé) (Conférencier, Paris)
Salle 251

"Vendredi 09 juin"

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AS37 B
14:00 - 15:30

Atelier Soignants
Conditionnement et déconditionnement du traumatisé grave
Traumatologie

Coordonnateur : Yann COEN (Coordonnateur, Brest)
Conférenciers : Christian CARIOU (IDE) (Conférencier, Brest), Jean-Baptiste MAGNIN (Ambulancier SMUR) (Conférencier, Brest)
Revoir le matériel et les techniques d'immobilisation qui sont utilisées tous les jours en SMUR et SAUV :
Collier cervical, civière cuillière, MID, ceinture pelvienne, attelle de traction (CT6), garrot tourniquet, plan dur (araignée),bloc tête (speedblock), attelle cervico-thoracique (ACT).
Apprendre aussi à marier le matériel d'immobilisation sur un patient déjà lourdement techniqué.
Salle 253

"Vendredi 09 juin"

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CS03
14:00 - 15:30

Conférence Soignants
Exercer autrement en Médecine d'Urgence
Catastrophe SSE CUMP, Environnement, Infirmier, Pathologie circonstancielle, Profession - Métier, Réseau de santé

Modérateurs : Emeline DELON (infirmière) (Nîmes), Geoffrey GALOPIN (Infirmier) (Dijon)
Coordonnateur : Geoffrey GALOPIN (Coordonnateur, Dijon)
La Médecine d'Urgence telle que nous la connaissons se décline en deux volets : l'extra et l'intra hospitalier avec les SMUR et service d'Urgence. Cette session a pour but de mettre en lumière d'autres professions de l'urgence et de décrire le rôle de chacune d'elle.
14:00 - 15:30 Infirmier Sapeur Pompier. Benoît CHATEAUNEUF (IADE) (Conférencier, Dijon)
14:00 - 15:30 Infirmier militaire. Alexandre NIGGEL (Infirmier) (Conférencier, Sollies-pont)
14:00 - 15:30 La réserve sanitaire / l'exercice humanitaire. Merlin DESCOURS (Infirmier) (Conférencier, Toulon)
Salle 351

"Vendredi 09 juin"

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AS38
14:00 - 15:30

Atelier Soignants
Communications complexes : annonce de la maladie grave, de la mort, du pronostic sévère
Pédagogie - Enseignement - Formation

Coordonnateur : Eric PERRET (Coordonnateur, Annecy)
Conférenciers : Gael GHENO (Chef de service) (Conférencier, Annecy), Pierre POLES (praticien hospitalier) (Conférencier, Annecy)
Objectifs pédagogiques :
• Sensibiliser les participants à la gestion des situations d'annonce de la mort et de pronostics péjoratifs.
• Apporter des éléments conceptuels relatifs à cet accompagnement
• Développer des aptitudes à la prise en charge de ces urgences médico-psychologiques

Apports cognitifs :
• La mort : représentations psychiques et culturelles
• L'annonce : une communication à haute contrainte
• La relation d'aide : définition, principes, rôle de l'équipe soignante
• Expliciter les mécanismes de défense pouvant se manifester lors de cette annonce
• Offrir des repères sur les différentes étapes du deuil, en particulier la première étape du déni
• Aborder les savoir être à travers les notions d’empathie, de juste distance, d’auto empathie.

Techniques pédagogiques :
Les apprentissages se feront autour d’analyse de scénettes simulées.
Salle 352A

"Vendredi 09 juin"

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AS40 C
14:00 - 15:30

Atelier Soignants & Ambulanciers SMUR
Atelier de conduite en situation d'urgence
Evaluation Services d'Urgences, Ambulanciers, Pédagogie - Enseignement - Formation

Coordonnateur : Marc BODSON (Coordonnateur, Trappes)
Conférenciers : Marc BODSON (Conférencier, Trappes), Didier GRANDIN (cadre logistique smur) (Conférencier, Trappes), Stephane GRESSIN (Conférencier, Trappes)
Prendre conscience des risques routiers et des prérogatives des véhicules d'urgence.
Moyen pédagogique : simulation de conduite
Stand 31 (Beltoise Evolution)